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calling to the night.

Michaela B.Schneider
Michaela B.Schneider

*
▌JE SUIS NÉ(E) LE : 13/10/1984
▌ÂGE DU PERSONNAGE : 39
▌AVENTURES VÉCUES : 122
▌ARRIVÉ(E) LE : 04/09/2018
▌CRÉDITS : angie(avatar)
Ton âge : 28ans.
localisation : dans un coin sombre de ma tête.
emploi : médecin généraliste.
humeur : froide comme la glace;tranchante et aiguisée comme la lame d'un couteau.
Profil Académie Waverly
calling to the night. EmptyLun 8 Juin 2020 - 22:02
Asar &
Michaela

Through the night to the day when everything is gone.Carry this soul away from the dry lands.In the sun we see fighting over lines.All our dreams and wishes we sent home for safe keeping fighting for what’s right.
il était déjà si tard. Ce n'était certainement pas une heure pour une jolie blonde de traîner les rues. Une jolie blonde à la silhouette longue et élancée mais pas n'importe qu'elle blonde. Cette blonde la n'est pas commode. Son sourire cache le diable en personne. Elle ne semble craindre ni le temps ni les gens, ni personne en réalité. La d'ou elle vient, elle n'a pas le temps de s'inquiéter de telles futilités. Dans son monde, il faut courir et tirer pour survivre. Des vies, elle en a ôtées sans aucun scrupule, sans aucun remord. Elle est née pour ça: Tenir une arme à la main et se défendre de ceux qui chercheraient à lui nuire. Elle n'est pas mauvaise pour rien, tout a une raison, et tous ceux qui chercheraient à détourner ses plans ou à s'immiscer discrètement sur son chemin finiraient par en subir les terribles conséquences. Alors, elle flâne le long des rues cette jolie blonde, une petite veste sur le dos pour combattre la brise printanière qui lui chatouille la peau. Ses talons lui donne un peu plus de hauteur et brise le silence de glas présent en cette soirée de huit Juin. Elle s'élance, ses hanches se balancent, s'activent pour regagner son véhicule stationné non loin avant qu'un bruit ne se met à attirer son attention. A proximité de la porte conductrice, il lui semble entendre des voix, graves, de celles qui appartiennent à ses mâles qui se pensent supérieurs à la femme. Ce sont des cris, des gémissements rauques et rapidement, ses mêmes cris finissent par disparaître dans la pénombre de la nuit. Au loin, il lui semble apercevoir trois silhouettes courir à toute enjambée alors que derrière elle, des gyrophares appartenant à un véhicule des autorités de la ville illuminent son corps aux courbes généreuses. Mademoiselle. Est-ce que tout va bien?«Madame.» Elle rectifie. Elle n'est pas mariée, mais le terme "mademoiselle" est bien trop péjoratif pour elle, à moins que ça ne soit elle qui ne cesse de l'affilier à ses petites pucelles excitées qui passent leurs nuits et jours à rêver de perdre leur virginité.

Les officiers ne quittent par leur véhicule, se contente uniquement de la mettre en garde sur la dangerosité du quartier dans lequel elle se trouve. «Je connais bien cet endroit. C'est un peu comme mon deuxième chez moi..» Bon nombre de ses patients sont ici car la plupart des habitants d'ici ne vivent malheureusement pas du luxe et de la richesse et se contente, tout comme elle, à l'époque, de survivre. «Mais je serais prudente soyez sans crainte.» qu'elle finit par dire aux officiers pour les faire déguerpir. Elle n'a pas spécialement envie de parler avec eux ce soir car quelque chose, ou du moins une ombre attire à nouveau son attention. Un sourire crispé aux lèvres, elle salue ses braves hommes qui eux, filent à travers la nuit pour mettre la main sur des brigands ou des hors la loi. Les mêmes hors la loi qui se sont mit à courir plus tôt dans la direction opposée à leur véhicule.

Michaela aurait pût rentrer dans sa voiture et partir elle aussi, mais non. Calmement, elle avança jusqu'à cette ruelle à peine éclairée, la d'ou provenait les cris et les insultes quelques minutes plus tôt et comme elle avait pût le constater au loin, il y avait encore quelqu'un contre l'une de ses briques froides et délabrées. Un homme. Un seul homme, à peine éclairée par la lueur du lampadaire au dessus de sa tête. Cet homme semblait fraîchement amoché, du sang s'écoulait par ci par la. «Ils ne t'ont pas loupés.» Elle l'aborde trop calmement quand certains auraient déjà appelés les secours, ou au mieux, se serait méfier de lui. Qu'est-ce qu'un homme comme lui faisait à cette heure ci en pleine ruelle à se faire passer à tabac par un groupe d'autres hommes tout aussi coriaces et robustes que lui. «T'as pas l'air bien mais je sais comment t'aider à régler ton problème..» Ou du moins l'aider à panser ses blessures. Médecin de profession, Michaela était apte à s'occuper des premiers secours sans que ce dernier file à l'hôpital. Un gars comme lui doit bien avoir ses petits secrets inavoués, et il est fort à parier qu'il n'oserait pas de lui même consulter un médecin de peur que les questions indiscrètes fusent dont la raison de ses blessures. «Alors, ont a quoi ici? Dealer? Voleur? Braqueur? .. Hmm, non t'en as pas l'allure.» qu'elle dit en le toisant. L'obscurité des lieux ne l'aiderait pas à définir exactement le profil du personnage, mais si elle serait celle qui l'aiderait à guérir de ses maux, alors il est fort à parier qu'elle aurait l'occasion d'en voir plus. N'y voyait la aucune compassion, juste un élément de plus dans ses petites relations, car dans cette ville aux milles et un secret, il faut parfois savoir être aimé plutôt que détesté, histoire de se fondre dans la masse et de ne pas éveiller les soupçons les plus atroces à nôtre égard.

Asar Sphinx
Asar Sphinx

calling to the night. Ccj1
▌JE SUIS NÉ(E) LE : 20/10/1986
▌ÂGE DU PERSONNAGE : 37
▌AVENTURES VÉCUES : 273
▌ARRIVÉ(E) LE : 27/07/2018
▌CRÉDITS : Avatar : Vodka Paradise
Profil Académie Waverly
calling to the night. EmptySam 20 Juin 2020 - 7:47






Calling to the night
Michaela B.Schneider & Asar Sphinx



L’adaptation n’était pas aussi simple que ça. Un jour, vous étiez le plus grand héros de votre temps. Jeune, beau et courageux, vous affrontiez le dieu du mal pour sauver votre univers. Si cela donnait du prestige, cette vie n’était pas aussi agréable que cela. Il fallait se battre, lutter contre de nombreux ennemis sanguinaires, se montrer dévouer à une mission qui nous dépassait. Sphinx avait traverser les déserts les plus mortels pour sauver chaque habitant de l’Egypte en combattant chaque monstre qui se tapissait sous les dunes chaudes. Ainsi fut sa vie, ainsi fut-il entrainé et élever sans jamais se plaindre. Et encore, on lui promettait de nombreuses aventures par la suite, mais il ne s’attendait pas à cela.

Au revoir les dunes de sables et les maisons de briques décorés, bonjour le bitume et les bâtiments en plâtre. Si ce n’était que ça, dans ce pays bien plus glaciale, Sphinx avait perdu les dons gagnés durant son périple. Il gardait une certaine force et agilité, mais qui restèrent assez classique on va dire dans ce monde. En tout cas, il emmena autre chose avec lui de son ancien univers. Chez lui, gagner de l’argent était facile donc pour vivre, pas de soucis. Là, la vie semblait plus dure, impitoyable. Gagner quelques billets qui remplaçaient les scarabées d’or se révéla un gros défi. Il accepta divers petits boulots, n’ayant pas de qualifications précise hormis guerrier sauveur du monde. Et sa condition ne s’arrangea pas avec son addiction aux jeux. A Abydos, il fut si facile de parier et remporter quelques scarabées. Ici, c’était un piège bien plus sournois.

Donc à la fin, il était tout naturel de se retrouver dans une ruelle sombre et humide, à peine éclairer, face à une bande de voyou menaçant. Yep, Asar s’était mit dans une sale situation. Un enfant qui découvrait un peu le monde impitoyable des adultes et dont il allait goûter à la note salée.

"Ecoutes moi bien pau'v mec. Tu me dois mille dollars alors il est temps de m'filer la tunes." Lui aboya un type à la peau noir, vêtu d’un gros blouson et d’un bonnet.

Sphinx était-il intimidé ? Pas du tout. Il avait cette expression arrogante sur le visage, qui le fit lever les yeux au ciel. Il avait affronté des serpents géants, des morts-vivants et autres abominations. Un humain l’effrayait bien moins.

"Ecoutes l'ami. Je te rembourserais quand j'aurais l'argent. Là je peux juste te filer de quoi te payer un hot-dog. Ou une nouvelle coupe, ça te serait sans doute pratique."

Une réplique qui ne passait pas. Passant sur les menaces, le prêteur envoya ses acolytes sur Asar. Ce dernier l’ayant sentit venir, attendit leur approche. Quand les premiers coups furent porter, Sphinx esquiva les poings tendus pour contrer avec des coups au niveau des côtes. Il resta bon combattant, décrochant un autre coup dans la mâchoire de l’un et dans la poitrine de l’autre. Il pourrait sans doute tous se les faires, mais l’endetter n’avait vue le coup de barre lui venir derrière.

Une douleur violente lui parcourue la tête et le dos. Poussant un cri, Asar s’écroula donc au sol, sentant bien le béton humide mouiller son jean. Profitant de cet avantage, les voyous firent pleuvoir coup de poings et de pieds. Se mettant en boule, Asar se protégea la tête et le coup avec ses bras, laissant le reste du corps absorbait la violence du combat. Quand le commanditaire jugea que ce fut assez, il se pencha au-dessus de sa victime.

"Je te laisses une semaine compris ?"
"Boss ! Y'a des flics dans le coin."

Aussitôt, la petite bande disparue dans l’obscurité. Heureux de profiter de ce moment de répit, Sphinx se traina sous le lampadaire, afin de se reposer dos contre le mur. Tout son corps fut si douloureux, il gémissait quand il tenta de bouger. Respirer encore était acceptable. Normalement, le jeune homme pourrait arriver à se lever et rentrer chez lui. Néanmoins, sa soirée ne fut pas terminée, car quelqu’un d’autre venait donc voir ce qu’il se passait.

"Ils n’ont pas toucher au principal." Plaisanta t’il malgré tout, parlant de sa belle gueule.

Se détachant de l’ombre, Sphinx put voir apparaitre une jolie silhouette féminine. Une belle femme blonde aux formes divins. Ceci lui fit décocher un petit sourire, trouvant l’inconnue bien ravissante. Et encore, c’était un euphémisme. Il nota qu’elle ne semblait pas choquer par ce qu’elle voyait. Pas de cris, ni de larmes, elle ne courut pas appeler de l’aide. Une habituée du quartier sans doute.

"Ah ? Etes-vous un géni venu m’aider à me venger ou sortir de la mouise ?" Toujours plaisantin.

Mais il était vrai qu’il se demandait ce qu’elle avait en tête. Aider comment ? Mise à part téléphoné à une ambulance au final, il ne voyait pas autre chose. En tout cas, la nouvelle question réconforta l’idée qu’effectivement, son comportement détaché démontrait qu’elle en avait déjà vue des cas comme le sien.

"Premier rendez-vous et vous me jugez déjà ? Je n’ai pas l’air d’un badboy qui braque les banques ?"

Enfin, si Sphinx tombait sur des voleurs, il serait le premier à leur sauter dessus pour les stopper. Voler tout ça, il en avait horreur. Tout ce qui était criminel, il le combattait, même si ce monde souvent, l’encourageait à frôler la ligne. Gémissant encore, Asar tenta malgré tout à se lever, ses jambes arrivant tout juste à le supporter, il plaqua sa main sur ses côtes douloureuses, mais ne put s’empêcher de sourire à cette belle inconnue.

"Et que fait une belle femme comme vous, dans un trou pareil ? Vous ne savez pas que ce coin est dangereux ?"

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Michaela B.Schneider
Michaela B.Schneider

*
▌JE SUIS NÉ(E) LE : 13/10/1984
▌ÂGE DU PERSONNAGE : 39
▌AVENTURES VÉCUES : 122
▌ARRIVÉ(E) LE : 04/09/2018
▌CRÉDITS : angie(avatar)
Ton âge : 28ans.
localisation : dans un coin sombre de ma tête.
emploi : médecin généraliste.
humeur : froide comme la glace;tranchante et aiguisée comme la lame d'un couteau.
Profil Académie Waverly
calling to the night. EmptyVen 26 Juin 2020 - 7:39
Asar &
Michaela

Through the night to the day when everything is gone.Carry this soul away from the dry lands.In the sun we see fighting over lines.All our dreams and wishes we sent home for safe keeping fighting for what’s right.
Au détour de cette ruelle obscure, un homme s'y trouvait. Il était seul, ses compères l'ont lâchement abandonné après l'avoir passé à tabac.  L'espèce humaine est lâche, ça ne change pas. Cette histoire ne la regardait en rien, elle aurait pût entrer à l'intérieur de son véhicule et filer à travers la nuit pour regagner son appartement tranquillement. Faire sa vie comme la plupart des habitants de cette ville peuvent le faire, sans se soucier une seule seconde de la misère autour d'eux. L'être humain est égoïste en plus d'être lâche, voilà qui n'arrange pas ses affaires. Intriguée, elle s'était avancée jusqu'à cet homme pour le détailler, faire état des lieux et constater les blessures qu'il pouvait avoir un peu partout sur le corps. Il faisait pâle allure et ne semblait nullement faire parti des différents stéréotypes de rebelle de ses bas quartiers. Il ouvrait les lèvres pour sortir quelques mots, mots qui la fit doucement sourire.«On peut dire ça..» qu'elle répondit quand il s'était mit à la qualifier de "sauveuse". Michaela non plus n'avait pas l'allure du bon samaritain prêt à tendre sa main à n'importe qui même si elle s'efforçait de le faire pour redorer une image d'elle bien trop souvent salie à cause d'un certain docteur Korneïev. Elle avait touché le fond elle aussi, plusieurs fois dans sa vie, et sa regrettable erreur fût d'avoir craint le démon, d'en avoir eu peur quand elle aurait dû se battre comme une lionne pour se défaire de son emprise. Elle s'était laissée séduire par sa noirceur et ses ténèbres, par sa folie et ce côté fou qui animait chacun de ses faits et gestes. Il est difficile d'oublier Isaak, "Psycho Mantis", en un claquement de doigt. Il est cette cicatrice qu'elle a au cœur et un peu partout à chaque endroit ou son corps divin s'est retrouvé flagellé. Malgré tout, Michaela n'a pas oublié qui elle est réellement, ni tout ce qu'elle a put faire par le passé. Son âme n'a jamais trouvé le repos, et les cris de ses victimes résonnent, encore aujourd'hui, à l'intérieur de sa tête. toutes ses vies qu'elle a pût froidement ôter en pressant simplement sur une gâchette.

L'homme tenta vainement de se dépatouiller de son embarras et surtout dans la situation dans laquelle il se trouvait présentement. Il aurait pût juste geindre et gémir comme ils le font tous, mais lui, préféra faire usage d'un brin d'humour pour faire passer son passage à tabac comme quelque chose de normal et presque, d'habituel. «On a rarement vu un braqueur de banque dans cet état la. Mais si cela vous plait de jouer aux gros durs qui cache une liasse de billets dans son froc, je peux tout aussi bien rappeler les flics pour qu'ils vous coffre.» répondit-elle d'une voix légère et amusée à la fois. Bras croisés contre sa poitrine, elle continuait de l'observer, de détecter la moindre grimace qu'il ferait dû à une côte fêlée ou à un os brisé, histoire de bien comprendre l'endroit précis ou il avait été touché et qu'elle aurait à "réparer". Le point positif, c'est qu'en faisait usage de son humour, il la rassurait sur l'éventualité qu'on lui avait cassé quelque chose. Si ça avait été le cas, il aurait hurlé comme une fillette au moindre mouvement.

Elle finit par se pencher en avant comme pour lui offrir son bras ou son assistance pour l'aider à tenir debout, c'est la qu'elle l'entendit à nouveau parler. il semblait surprit de voir une "si belle femme, presque innocente" dans un endroit pareil. Comme ci elle avait besoin de quelqu'un pour se défendre en cas d'attaque. Il ignore qui elle est, la guerrière téméraire qu'elle fut autrefois, la même qui faisait usage d'une technique de combat au corps à corps irréprochable et d'un maniement des armes à feu impeccable. Elle se mit à pouffer de rire en levant les yeux au ciel l'espace de quelques secondes. Elle aurait presque crû être à son tour le stéréotype de la blonde sans défense, innocente qui ignore tout du mal et qui risque, à tout instant de se faire attaquer par un vilain garçon dont elle tombera, sûrement, folle amoureuse par la suite. A ses mots, elle ne pût s'empêcher de répliquer, d'une voix légère comme l'air et d'avantage amusée. «Je ne suis pas la seule à juger apparemment.. J'ai l'air d'une blonde écervelée qui prend le risque de traîner dans ce genre de quartier dans le seul but de rencontrer l'affreux vilain mauvais garçon qui fera chavirer mon cœur?» Même dans le pire des bouquins d'amour et de romance ce scénario ne serait pas possible, à moins que.. «Non chéri.. Je connais cet endroit comme ma poche, c'est un peu comme.. ma deuxième maison en fait d'ou ma surprise de t'y retrouver la. Je connais à peu près toute la racaille d'ici, et ta tête ne me dit rien du tout.» Elle jouait les surprises avant de se remettre droite et de reprendre la parole, changeant de sujet soudainement. «Ma proposition tient toujours. je peux t'aider à aller mieux.. Je suis médecin en réalité. Docteur Michaela Schneider.» Et elle tendit sa main pour qu'il entre en contact avec elle, pour qu'il se présente à son tour, pour qu'elle puisse l'avoir un peu plus dans ses filets et qui sait, obtenir ses faveurs. «Mon cabinet est pas très loin, je peux t'y conduire et t'aider à panser quelques blessures.. Ça sera toujours mieux que d'aller à l'hôpital et de dire aux médecins que tu traînes dans de sales affaires et que des types louches ont manqués de te laisser pour mort sur le bitume tu crois pas?» C'était aussi une manière pour elle d'apprendre à le connaître et de se le mettre un peu plus dans la poche. Son but n'était pas de faire en sorte que toute la ville soit son alliée, mais si cela pouvait la "protéger" de l'influence d'Isaak sur cette dernière alors pourquoi pas.«Ma voiture est à deux pas.. tu peux marcher? Bien sûr que tu le peux.» Si il sait tenir sur ses jambes, il peut marcher et même si sa cheville est foulée, que son fémur est fracturé , tant pis, il rampera si il le faut jusqu'à sa voiture pour qu'elle puisse l'emmener en lieu sûr, la ou elle pourrait lui donner toutes les prescriptions dont il a besoin pour guérir et ou, son âme serait sienne ce soir comme toutes celles des patients qu'elle soigne en temps normal.

Asar Sphinx
Asar Sphinx

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▌JE SUIS NÉ(E) LE : 20/10/1986
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▌ARRIVÉ(E) LE : 27/07/2018
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Profil Académie Waverly
calling to the night. EmptyLun 29 Juin 2020 - 7:30






Calling to the night
Michaela B.Schneider & Asar Sphinx



Cette femme avait du répondant, ça lui plaisait. Ses remarques loin de vexer l’ancien guerrier, firent plutôt sourire ce dernier, malgré le fait que chaque rictus qu’il tenta de faire, ou en soufflant un rire, lui tira douloureusement sur ses blessures. Certes, d’où il venait, Sphinx n’avait pas l’habitude de rencontrer de femme ayant tant de mordant. A vrai dire, il existait peu de monde avec un esprit aussi valeureux. D’ordinaire, les gens étaient passifs, vivant chez eux sans trop se soucier du monde qui les entouraient. L’armée, ou les gardes mêmes… N’étaient des plus efficaces. Ce furent surtout les disciples d’Imhotep qui devaient affronter les méchants qui voulaient s’attaquer aux gentils. Alors, rencontrer quelqu’un d’autre expriment une grande force de caractère, cela intriguait toujours notre jeune ami.

"Appellez la police ? Quoi vous voulez vous débarrasser de moi aussi vite ?" Ironisa l’égyptien.

On ne pouvait pas dire que Sphinx soit en très bon terme avec les forces de l’ordre. Le jeune homme, ayant souvent des démêlés avec la justice, il arrivait quelques fois qu’un flic ou deux lui mettaient la main dessus. Oh rien de bien méchant ! Asar était toujours prît à partie dans une rixe. Ou bien fréquentant un peu le monde du jeu, finir par se retrouver dans un endroit peu fréquentable comme celui-ci. Il n’avait rien de dangereux cependant, juste un héros déchu qui se voyait encore comme le sauveur du monde, et qui ironiquement, finissait par être classer parmi les petites crapules.
Sphinx respectait néanmoins les forces de l’ordre. Ceux œuvrant pour le maintient de la paix, méritait son estime. Et quand il fut arrêté pour un de ces petits délits cités, le jeune homme comprenait parfaitement sa part de responsabilité. Cependant, il aimerait quand même éviter d’avoir trop à faire à eux.

"Ecervellée… Je ne pense pas. Mais si le mauvais garçon devant vous, à fait chavirer votre cœur, alors je ne m’opposerais pas au caprice du destin." Répondait-il, tout sourire, ignorant la douleur qui en résultait et qui le lançait.

Oui, Sphinx ne pouvait pas s’empêcher de jouer les hommes charmeurs. Le monde ne le connaissait que sous une seule facette, celle du héros intrépide, qui allait affronter sans peur le danger et sauver le monde encore et encore. Mais comme tout à chacun, il possédait une personnalité plus complexe, que personne ne suspecterait. Oh oui, il aimait jouer de son charme, narrer ses exploits pour attirer l’attention. Malgré cela, il se doutait bien que ses chances avec la belle blonde seraient quasi-nul, mais qui ne tentait rien n’avait rien. C’était aussi un peu sa manière d’apprendre à mieux la connaitre.

L’inconnue proposa de nouveau de l’aider. Elle expliqua connaitre le quartier, et posséder un cabinet. Médecin donc. Et qu’elle pourrait l’emmener. Tout ceci ne tomba pas dans l’oreille d’un sourd. Sphinx y réfléchit, le bras sur ses côtes douloureuses. Contrairement à son monde, pour se soigner ici, c’était bien plus difficile. On ne cassait pas un vase pour trouver de la vie. C’est vrai, il a essayé la première fois qu’il fut blessé à Game City, et tout ce qu’il avait gagné, c’était la fureur de la propriétaire des vases et quelques blessures en bonus en plus.

"Soit. J’accepte votre proposition."

En effet, Asar pouvait encore marcher. Ses pas furent plus lourds et lents, et bien entendu, douloureux. Mais le jeune homme pouvait se déplacer encore. Il se sentait même capable de donner quelques coups également si on venait lui chercher querelle. Il suivit donc la belle blonde jusqu’à son véhicule. Être soigner par une telle femme, cela ne lui déplaisait pas. Elle avait des courbes aussi belles que celles des filles d’Héliopolis. Quoi ?

"Si vous bossez vraiment dans le coin, vous devez en avoir de la clientèle."

Le quartier étant bien connue pour être malfamé, l’inconnue devait en recevoir du monde. Coups de couteau, balle dans la peau etc. Même en faisant payer un minima, elle devait bien gagner sa vie. Mince ! Payer ! Est-ce que son geste était purement désintéressé ? Ou bien comptait-elle lui facturer ses services ? Si on avait passer à tabac justement le beau châtain, c’était justement parce que ce dernier devait du fric, argent qu’il ne possédait pas, si ce n’était quelques malheureux dollars dans sa poches.


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