the clock moves | Ft. asterion.

13/10/1984

asterion&michaela

the clock moves.

Elle était la. Discrète, une main dans la poche à fixer ce bâtiment en le maudissant intérieurement aussi fort que possible. A bonne distance, elle se sentait comme, protégée, comme un vampire à l'abri du soleil. Intouchable, rien ni personne ne pourrait lui nuire désormais, elle s'en était faîtes la promesse. Il est finit le temps ou Michaela accepte, encaisse, sans jamais rien demander ni faire en retour. Cette fois, ils paieraient, tous, lui en particulier pour tout le mal qu'il avait pût lui faire. Il l'avait malmenée, manipulée, possédée et elle en avait terriblement souffert, bien pire que les sévices qu'elle avait pût vivre dans sa tendre enfance par cet homme qui se proclamait comme membre de sa famille. Isaak, il penserait que le vent tournerait sans arrêt pour lui, qu'il était le seul maître de cette relation malsaine qu'ils menaient tout les deux. Il pensait qu'il pouvait tout contrôler: Son esprit, sa conscience, son corps, ses faits et gestes. Il pensait qu'elle lui appartenait. Comme si Michaela appartenait à quelqu'un. Dire qu'elle ne s'était pas éprise de lui serait mentir, il était différent de tous les hommes qu'elle avait pût côtoyer jusqu'à présent. Un brin fou à lier, déjanté, il aurait été capable de tout pour elle, jusqu'à se mutiler et il l'avait fait d'ailleurs. Cet homme, il ne lui voulait pas que du bien et semblait prêt à tout pour l'anéantir, elle et sa précieuse petite vie. C'est à ce moment la qu'elle avait réalisé qu'elle était en danger à ses côtés, et que tôt ou tard, c'est sous terre qu'elle se retrouverait si elle n'agissait pas et rapidement. Isaak, il fallait qu'il comprenne que ce n'était pas un animal docile qu'il s'efforçait de remettre en cage mais bien une femme au tempérament de feu qui en avait tué pour moins que ça par le passé. Et si jusqu'à présent, la jolie blonde s'était tût, terrée dans un certain mutisme, aujourd'hui, il fallait que les choses changent et qu'à son tour elle lui fasse payer ce qu'il avait osé lui faire subir jusqu'à présent. Il veut anéantir ses jours? Elle en ferait de même. Amour vache. Les traits serrés et froids, elle attendit sagement, le bon moment, le moment propice pour agir et quand ce bon moment vint à elle, alors elle se décida à passer à l'acte.

La porte du cabinet vint s'ouvrir, un homme en ressortit. Cet homme, elle le garda précieusement à l'oeil, commençant à marcher même en sa direction, sa main droite toujours dans la poche de son trench et l'autre tenant fermement un café encore chaud. Ses pas se firent plus rapides à mesure que l'homme s'éloignait, et c'est une fois à sa hauteur, qu'elle fit mine de le bousculer et par la même occasion d'étaler ce fameux café chaud sur lui. La froideur de son visage laissa bientôt place à la surprise et la gêne. Qu'elle belle comédienne. Ses lèvres s'arrondissaient, comme choquée par ce qu'elle venait de faire, elle vint aussitôt s'excuser en battant des cils. «Je vous prie de bien vouloir m'excuser! Qu'elle maladroite je fais. Vraiment je suis désolé, je ne regardais pas devant moi.» Elle jouait les femmes occupées psychologiquement, et elle n'avait pas besoin d'user de subterfuges pour ça, elle l'était réellement , "occupée psychologiquement". Rapidement, elle fit mine de sortir de sa poche un mouchoir que le café du coin lui avait gentiment donné en même temps que la boisson qu'elle tenait dans ses mains,pour le tendre au garçon afin qu'il puisse éponger cette malheureuse tache de café qu'elle avait pût lui faire en le bousculant intentionnellement. «Pardonnez-moi vraiment, je suis véritablement confuse, ça ne m'étais jamais arrivé auparavant, à croire que je suis vraiment étourdie aujourd'hui.» continua t-elle en faisant mine d'être terriblement désolé pour son geste. La plupart des femmes font ça pour attirer le regard ou l’œil des hommes, et il faut croire qu'elle de son côté, sait souvent y faire et même si ce n'est pas le cas, elle fait toujours tout en son pouvoir pour capter l'attention de la personne qui l'intéresse. La en l'occurrence, cet homme. Elle n'avait pas prit quelqu'un au hasard, il s'agissait certainement d'un des patients de son cher et tendre Isaak, homme peu scrupuleux et manipulateur qui n'hésiterait pas à extorquer ce pauvre homme qu'elle pouvait aider en jouant les âmes bienveillantes. Ne pensez pas qu'elle fait ça dans un but honorable, non. Son but est tout autre: Faire payer Isaak en dévoilant aux autres son véritable visage et il n'était pas compliqué pour elle de se faire passer pour celle qui souffrait, dans l'histoire c'est toujours elle qui a souffert le plus, jusqu'à en subir une intervention forcée, de sa faute à lui. Tout était de sa faute et aujourd'hui, il en paierait les pots cassés.

AVENGEDINCHAINS

14/10/1982

The clock movesMichaela & Astérion

Vous savez, venir ici n’est en rien plaisant. Pourtant il fallait croire que c’était le prix à payer pour revivre une existence dite normale. Jadis je vivais dans une sorte de paradis. Cité des dieux, joyau du monde, et ceux malgré que ce soit une illusion, je connaissais un réel bonheur qui se transforma en cauchemar. Vous épargnant les détails de ma vie, je cru qu’enfin, j’allais vivre en liberté dans ce nouveau monde. Nouveau job, nouvelle vie. Peut-être aurais-je pus mener cette nouvelle existence en faisant comme si mon passé n’était plus qu’un mauvais souvenir. Un cauchemar qu’on oubliait pendant des années avant de s’en rappeler pour un lapas de temps. Hélas, ce ne fut le cas.

Pire qu’un souvenir venant vous hanter, la chose responsable de vos tourments vous traquait. Même, vivait sous votre peau. C’était difficile à expliquer, mais la bête était toujours là. Elle vivait, respirait en moi. Je pouvais l’entendre souffler, grogner, vouloir tout détruire sur son passage. Quand je fermais les yeux, elle voulait remettre ça. Je la voyais, agité, en colère, voulant respecter la mission qu’on lui avait donné. Et voilà pourquoi je venais souvent pendant plusieurs semaines voire un psy. Sans raconter le fait que je venais d’un autre monde, je lui parlais de la chose en moi. Trouver une solution pour m’en débarrasser serait génial, mais si déjà je pouvais mieux la maîtriser ce serait bien aussi. Surtout que maintenant, je commençais à me faire à l’idée que le Minotaure faisait à présent partie de moi.

Et c’était d’un de ces rendez-vous que je sortais justement. On était qu’au début, mais je gardais un grand espoir d’y voir rapidement de la progression. Car si vraiment le Minotaure était devenu une de mes facettes, je n’arrivais toujours pas à maîtriser ce monstre. Mains dans les poches, tout de même content de sortir d’ici, je fus rapidement bousculé par une des patientes. Le choc me prit par surprise, et je vins à lever les bras en l’air quand je vis se rependre sur mon vêtement le contenu de la boisson de la jeune femme qui semblait-être du café. Je fus tenté de m’emporter, grogner un peu. Mais l’inconnue me devança en présentant rapidement ses excuses, ce qui eut pour effet de me calmer un peu.

"Ça va, ce n'est rien. Pas de soucis." Disais-je en tentant vainement de nettoyer ma veste avec mes mains. Un pur réflexe sans doute.

Heureusement pour elle, je n’étais pas très porté marque. Mes vêtements furent choisis pour leur utilité, donc je n’allais pas râler pour une veste ou un blouson fichu. Un coup de lavage et tout devrait rentrer dans l’ordre. Et pour aider à arranger les choses, je tentais un peu d’humour par la suite.

"Vous aurez pus tout déchirer aussi."

Je sais. Déjà que ce n’était pas brillant, mais en plus de le dire sur le même ton qu’une conversation sérieuse, ça n’aidait pas. Que vouliez-vous, jamais je n’avais prétendu être un pitre. Ma vie avant, avant la transformation, était quelque peu plus amusante. Rigoler, boire ce genre de truc. Mais depuis, j’avais du mal à retrouver l’état d’esprit insouciant et détendu du temps jadis. Le pouvais-je au moins ne le voulais-je point ? Sans doute une question à étudier lors d’un prochain rendez-vous.

"Vous non plus vous ne semblez pas trop épargner." Disais-je en jouant avec son mouchoir pour essuyer ma veste, sans pour autant arriver à nettoyer la tâche.

En effet, le café ne semblait épargné personne. Son haut fut aussi impacter, on pourrait dire que tout le monde était à égalité. Tiens, je pourrais le sortir aussi pour refaire de l’humour, mais bizarrement je n’y parvenais pas. Mon esprit en cet instant, était plus focalisé sur l’idée de rentrer chez moi et me changer les idées. Regarder un bon film, m’entrainer un peu au sport. Et aussi, retrouver ma salle où là, j’étais pleinement dans la peau de ce nouveau personnage, loin des tracas.

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13/10/1984

asterion&michaela

the clock moves.

Michaela Schneider, une femme distinguée, propre sur elle comme toujours. Le genre de femme dont ont est à milles lieux d'imaginer tout les innombrables cadavres qu'elle dissimule derrière son dos. Elle avait cette prestance, ce charisme apprécié la plupart du temps par les habitants de Game City. Elle était vue comme quelqu'un d'équilibrer, déjà de part sa profession: Médecin généraliste. Elle est le genre de femme qui sait comment vivre, qui sait comment se nourrir proprement pour gagner de précieuses minutes, heures, jours de vie en plus. Elle est le genre de personne sérieuse, passionnée, qui ne ferait pas de mal à une mouche, et pourtant.. Au plus profond de son esprit se cache un petit démon prêt à tout pour parvenir à ses fins. Ce n'est pas pour rien qu'elle était devenue "Bertha" au sein de la wolfpack. Une tueuse était née à cette époque, une perfide tueuse sans scrupule qui n'éprouve ni regrets, ni remords à ôter une vie humaine. Aujourd'hui, les choses ont changées à Game City. Bertha n'est qu'un fantôme du passé. Elle a laissé place à Michaela, une femme toujours aussi réfléchie, toujours aussi perfide qui n'hésite pas à faire disparaître tous ceux qui chercheraient à lui nuire, à condition qu'ils soient un frein, ou néfastes pour elle, elle ne fait pas disparaître n'importe qui, fort heureusement.

Aujourd'hui, sa proie serait le premier ou la première à sortir de ce cabinet médical, peu importe le degré de sa folie, son état d'esprit, de toute manière elle sait par avance que la plupart des personnes consultant Isaak Korneiev finissent tous par devenir totalement fous. Par chance, sa petite proie ne semblait pas l'être à première vue, pas encore du moins, il avait encore cet espoir d'être sauvé par elle. Elle fit mine de jouer les maladroites, les empotées, les potiches de service qui renverse leurs cafés sur n'importe quel passant se trouvant sur le même trottoir qu'elles. Elle fit mine de jouer les désolées, celles qui pourraient passer des heures à s'excuser juste pour une goutte de café noir, celles qui, comme dans les films, rencontrent l'élu de leur cœur de cette façon. Qui n'a jamais vu ce genre de film à l'eau de rose, ou la jeune femme renverse sa boisson sur un charmant inconnu qui lui sourit et qui tombe éperdument amoureux d'elle et de ses battements de cils? C'est l'histoire d'amour type qui nous donne presque envie de vomir et dont on sait par avance la suite de l'aventure. "Ils se marièrent, vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants.. Blablabla.FIN." A en vomir. Comme dans ses films, la jolie blonde souriait face à l'inconnu, se rendant vite compte qu'elle ne s'était pas non plus épargnée lors de cette bousculade. Au moins, ils semblent quittes tout les deux, sauf que non, elle a besoin de lui devoir quelque chose, d'avoir une dette envers lui, parce qu'elle a besoin de lui parler, de le comprendre, de s'immiscer dans un coin de sa tête, de son esprit pour tenter de retourner les choses, de jouer les psychologies inversées, inverses de celles qu'utilisent Isaak pour faire de ses patients ses nouveaux jouets.«Que voulez-vous.. Je suis doublement maladroite et je crois bien que je vous dois un T-shirt, tout comme je me dois à moi même un nouveau café.» Ajouta t-elle d'une voix quelque peu "amusé" par la situation. Cette situation ne lui ait pas totalement inconnue, cela lui rappelle même de vieux souvenirs du passé, ceux ou elle avait apprit à connaître le monstre, propriétaire de ce cabinet de psychologie. Tout était parti de la, une bousculade, un café renversé, et c'était lui qui avait insisté à l'époque pour qu'ils se revoient, histoire qu'elle se fasse pardonner de son geste.

Aujourd'hui, les rôles s'inversaient, c'était à son tour d'insister auprès de l'inconnu pour compenser cette tache de café et elle insisterait exactement comme Isaak l'avait fait avec elle.«Vous proposer un café serait certainement mal venu de ma part, mais je souhaite vraiment me faire pardonner de ce malentendu.. Peut-être qu'un thé, un chocolat chaud ou autre vous ferait d'avantage plaisir?» demanda t-elle poliment et même gentiment tout en conservant un charmant sourire sur ses jolies lèvres teintées. Son regard continuant de fixer ce malheureux qui n'avait pas réussi à effacer la tache sur lui malgré le nombre de fois ou il avait passé le mouchoir blanc sur lui. Le café, ça ne pardonne pas, une fois sur les vêtements, il fait des ravages, et bien souvent c'est à la poubelle qu'ont peut balancer son t-shirt ou jean quand la tache est trop incrustée. La petite était maligne, maximiser les dégâts et vous êtes surs d'obtenir ce que vous souhaitez, elle était intelligente et perspicace, lucide également, bien plus que ne le serait Isaak qui lui agissait constamment sous l'effet de la colère comme un parfait petit hystérique, une petite boule de nerfs qui doit d'avantage apprendre à se calmer et se canaliser plutôt que de donner ce genre de conseils à ses patients que la blonde ne se gênerait pas de récupérer, histoire elle aussi de jouer les psychologues , sauf qu'à défaut de les rendre fous, elle comptait bien les "soigner" dans le but d'exaspérer Isaak, de le rendre totalement fou, de le faire payer à sa façon.

AVENGEDINCHAINS

14/10/1982

The clock movesMichaela & Astérion

Bien que l’incident du café passât, l’insistance de la jeune femme avait un quelque chose d’énervant. On avait beau dire que ça allait, mais on voulait à tout prit se noyer sous une avalanche d’excuses. Enfin, malgré cela, je n’aspirais plus qu’à une chose, partir et oublier tout ça. Après tout, vue mon style de vie, je n’avais pas peur de me retrouver crade. Pas mon genre à me balader en costard à cinq chiffres et pleurait quand une tâche venait le ruiner. Avec moi c’était ainsi que fonctionnait le cycle de la vie, je sortais de chez moi les vêtements propres, je revenais souvent couvert de transpiration, de boue, poussière et j’en passe. Ce n’était donc pas du café qui me faisait peur. Encore heureux. Car entre mon boulot à la salle de sport, les petits « services » que je rendais et vue mon passif, la saleté n’avait plus de raison de me dégouter.

"Ca va ne vous inquiétez pas. Y’as pas de souci niveau fringue." Bue aussi à quel point je me salissais, il était aviser d’avoir une armoire pleine à craquer de vêtements de rechange. Mais on ne va pas faire tourner toute l’histoire autour de ma garde-robe et de mon hygiène.

L’inconnue voulu proposée un café pour se faire pardonner. Drôle de demande, mais qui ne manqua pas de me rappeler ces histoires d’amour, ces téléfilms qui passaient en début d’après-midi et qui racontaient la sempiternelle histoire d’un gars et d’une fille se rencontrant par un « accident », et quelques péripéties des plus nazes, finissaient dans les bras de l’un et de l’autre. Pas que je regardais ce genre d’émission, ça m’arrivait de tomber dessus de temps en temps par accident justement. Blague nul je sais. Mais on retrouvait ce concept un peu partout.
Bon, je devais avouer qu’il arrivait que je fasse tournée quelques têtes et que j’eus quelques propositions. Mais pour vous être franc, je ne savais jamais comment m’y prendre. Ma vie d’humain n’était plus qu’un faible souvenir, me rappelais que des grandes lignes. Et l’existence que je menais ici était toute nouvelle encore. Je n’étais pas un associable, juste tout ce qui concernait romance, ce n’était pas mon point fort. Mais peut-être que je m’emballais un peu vite finalement, et pour éviter toute situation gênante, je cherchais à rester un minimum logique dans la démarche.

"Si vous avez soif d’accord. Mais vous ne deviez pas allez voir le psy avant ? Me semblait que vous vous rendiez vers son bureau." Dis-je sans doute de manière un peu trop direct.

Pas que je sous-entendais qu’elle avait un problème. Sans doute en avait-elle un, sinon pourquoi venir ici comme moi dans cet antre de Mania ? Non, déjà je n’aimais pas les sous-entendus, les employant pratiquement pas, et puis je voulais parler du fait qu’elle devait probablement attendre un rendez-vous avec le doc. Je pouvais comprendre que ces entrevues étaient d’une grande importance. Avec Isaak Korneïev, c’était comme si ma bête intérieure c’était calmée. Je l’entendais moins rugir, taper dans mon crâne et dans mes tippes. J’avais comme une meilleure emprise sur elle. Bon, j’aurais aimé qu’elle disparaisse pour de bon, que plus jamais elle n’existe, mais je gardais foi qu’avec le temps, le Minotaure viendrait à mourir pour de bon à la longue. En tout cas, aujourd’hui je quittais le cabinet du toubib serein, plus qu’à mon arrivée, confiant même comme à chaque fois.
Pour l’inconnue, j’ignorais les raisons qui la poussée à venir ici, mais ne cherchait-elle pas non plus un certain réconfort auprès de Korneïev ? Quelque peu méfiant tout de même, je me demandais bien pourquoi une telle approche envers moi ? Ok, elle voulait se faire pardonner, mais il restait encore l’option « drague », ou bien elle agissait selon une pulsion liée à un trouble qui serait la raison de sa présence ici ? Voilà que maintenant, je me posais la question.

Mais calmons-nous un peu. Il était vrai qu’après ce que j’ai vécu sur Atlantis, je puisse voir des traitres un peu partout. Mais tout le monde n’était pas animé de mauvaises intentions à mon égard, et le temps passé dans cette ville me l’avait bien prouvé. J’eus fais quelques rencontres m’ayant redonné le sourire, et ne fus victime de la moindre tentative de kidnapping, ni même servis de cobaye pour qui que ce soit.

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