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"i'm a shadow, one that no light will shine on. as long as you follow me, you will never see the day." - Ft.John. |TERMINE.

Zoe Baker
Zoe Baker

*
▌JE SUIS NÉ(E) LE : 01/11/1985
▌ÂGE DU PERSONNAGE : 38
▌AVENTURES VÉCUES : 369
▌ARRIVÉ(E) LE : 02/10/2017
▌CRÉDITS : bazzart.
Ton âge : 26ans.
localisation : Certainement à la pharmacie.
emploi : Propriétaire de la Pharmacie du Mideel.
humeur : amoureuse.

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Profil Académie Waverly
"i'm a shadow, one that no light will shine on. as long as you follow me, you will never see the day." - Ft.John. |TERMINE. EmptyVen 19 Jan 2018 - 23:27
C'est con, je sais. Au moins, ils auront tous une putain de raison de m'appeler l'acoolo' maintenant. Promis il ne restait qu'un fond dans cette bouteille. Un fond? Mon oeil. Cette bouteille était quasiment pleine, et voilà que maintenant elle s'amusait à rouler sur le trottoir de la ville, accompagnée par les ricanements complètement dénués de sens de cette charmante petite brunette au regard livide. Demain matin, elle ne manquerait pas d'appeler en catastrophe son unique employée, la jolie Deuce pour prendre sa place à l'officine. Deuce, c'était une brave fille, tout son contraire. Deuce, elle était innocente, pure, le genre de fille lumineuse qui avait tendance à répandre la bonne humeur et la joie autour d'elle. Zoe aimait particulièrement discuter avec elle tout en lui transmettant en même temps son grand savoir sur l'univers pharmaceutique dans lequel elle travaillait désormais. La demoiselle apprenait plutôt vite, au point que la patronne l'avait autorisée bien des fois à servir à sa place, et demain, ça serait également le cas, malheureusement.

Son regard se posait sur la bouteille en verre qui finit par percuter la façade d'un bâtiment semblant plutôt agité de l'extérieur. Des rires se faisaient entendre, des rires viriles qui à défaut de l'inquiéter et la faire fuir de cet endroit l'intrigua suffisamment pour qu'elle finisse par pousser les portes de l'établissement. A son arrivée, plusieurs regards se tournaient vers elle, la plupart étaient des hommes, dans le même état que le sien si ce n'est pire d'ailleurs. Dans quel pétrin t'es en train de te mettre Zoé. Pensa t-elle en posant son regard vitreux sur l'ensemble des clients. Ses narines sentaient l'alcool, un alcool vicieux qui l'appelait. Un alcool qui serait prêt à l'anéantir ce soir, à la faire sombrer dans les abysses. Si Isaak serait la, il ne serait certainement pas fière de sa petite patiente qu'il essayait de sauver tant bien que mal. La brune s'avança, ou du moins tenta d'avancer, titubant de droite et gauche avant de percuter un homme sur son passage. «Pardon..» Souffla t-elle à demi consciente. La bousculade aurait pût s'arrêter la, et elle, aurait pût continuer son chemin jusqu'au bar, mais c'était sans compter les intentions de ce même homme qu'elle bousculait malencontreusement qui, avant même qu'elle n'ait le temps de faire un pas de plus, la retint par le bras. Pas si vite ma jolie. Et merde.

Son corps s'immobilisait sur place, elle ne prit pas le temps de se retourner pour faire face à la montagne de muscles souriante de ses belles dents blanches. Elle de son côté, se contenta de grimacer, craignant curieusement pour le reste du déroulé de sa soirée. Elle qui pensait pouvoir décuver en paix chez elle, ne rentrerait peut-être pas indemne ce soir. La poigne de l'homme se resserra autour de son bras, avant de glisser jusqu'à son poignée, un petit gémissement douloureux glissa d'entre ses lèvres cette fois. Il lui faisait mal et c'était bien la volontaire au vu du rire qu'il laissa éclater en voyant la soumission de sa proie. Il se foutait éperdument d'elle et cela ne manqua pas de la rendre folle de rage. Si il y avait bien une chose qu'elle ne supportait pas c'était cette façon dont certains hommes pouvait traiter les femmes. Pire que des objets, pire que des insectes qu'ont prend plaisir à écraser. Il voulait qu'elle lui fasse face? Et bien très bien, elle le ferait. «C'est quoi ton putain de problème!?» Grogna la brunette aux cheveux court en tentant de repousser d'une main violente l'homme d'un coup sur le torse. OH! La petite est téméraire en plus de ça. Face à sa rébellion, l'armoire à glace pouffa de nouveau de rire, avant d'abattre sa main sur son visage pour la faire pivoter sur elle même voir de la faire tomber sur le sol. Il ne lui laissa pas le temps de se ressaisir non, tant qu'à faire quand une proie est faible et désavantagée, autant l'achever d'un seul coup avant qu'elle ne récupère son énergie. Toujours d'une extrême violence, il se baissa pour l'attraper par la gorge, l'étranglant sans scrupule devant le reste de la clientèle dont certains prenaient un malin plaisir à observer la scène un sourire aux lèvres. _Ecoute moi bien petite garce. La prochaine fois que tu oses lever la main sur moi, je te le ferais doublement regretter, tu m'as compris? Alors maintenant,tu vas être une brave fille et tu vas payer pour ton affront hum?_ Lui cracha l'homme au visage en venant effleurer ses courbes avec son autre main libre. Quel horreur. Etre touchée de cette façon. Jamais ça ne lui été arrivée bien que tout cela était entièrement de sa faute. Si seulement elle n'aurait pas bu une goutte d'alcool, peut-être qu'elle serait sagement chez elle, à ne songer à rien d'autre qu'à sa misérable petite vie, plutôt que dans cette bâtisse, à manquer de se faire vulgairement violer par le premier imbécile qui ne se gênerait pas de le faire devant la foule en délire.
John Shepard
John Shepard

"i'm a shadow, one that no light will shine on. as long as you follow me, you will never see the day." - Ft.John. |TERMINE. 8oue
▌JE SUIS NÉ(E) LE : 04/11/1983
▌ÂGE DU PERSONNAGE : 40
▌AVENTURES VÉCUES : 340
▌ARRIVÉ(E) LE : 18/01/2018
▌CRÉDITS : Iorbix - Tumblr - Google - Bazzart

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"i'm a shadow, one that no light will shine on. as long as you follow me, you will never see the day." - Ft.John. |TERMINE. EmptySam 20 Jan 2018 - 9:16
Une journée de boulot comme les autres dirait-on. Pédalo, boulot, dodo. Pareil quand on tenait un bar. On devait se lever, aller travailler, rentrer à pas d’heure et se reposer pour la journée suivante. Une bien ordonné, suivant une routine sans fin. Pas pour John, ce serait mal le connaître que de croire que sa vie était coutumière. Surtout, vu l’endroit où l’ancien Spectre bossait. « Le Normandy », un bar qui pouvait paraître sympa, mais qui rassemblait les pires crapules du coin. Pire qu’un Saloon, car ici, tout le monde avait la gâchette facile. Normal, regroupez des mercenaires, tueurs, gents violents de toute sorte, et vous avez une bombe à retardement. Shepard connaissait les risques, étant lui-même un mercenaire. Mais contrairement à ses « collègues », il savait maîtriser son tempérament, et il faisait ça plus pour surveiller ces personnes et veiller à ce que personne ne fasse trop de vague. Limiter la casse en quelque sorte. En plus, tenant le bar, il était au fait des derniers nouvelles, des plans qui se jouait, de possible contrats juteux… Bref, il savait pas mal de chose grâce à cet endroit.

Quand il était au Normandy, il faisait circuler les boissons en boucle, discuter avec certains, faisant semblant d’apprécier de parler de leurs méfaits, mais en réalité, ils le dégoûtaient. D’apparence, on voyait un gars à qui, il ne fallait pas chercher des ennuis, un type qui pouvait vous briser la clavicule avec une simple pression du pouce, et qui pouvait aussi aboyer comme un Cerbère. Mais au fond de lui, il restait toujours ce héros de jeu vidéo qui inspirait tout le monde. Un sens de la justice, du bien commun. Mais ici, il ne pouvait pas le montrer. Sans doute, le prendrions-nous pour un idéaliste. Et puis, il valait mieux se comporter un peu comme l’ennemi, pour savoir mieux le contrôler. Cette vie n’était pas facile pour lui, car des fois, il peut se mettre à douter de ce qu’il faisait, ou de qui, il pouvait être comme un flic en infiltration. Alors, il jugulait entre les deux bords.

L’animation, digne d’une fête de motard, se retrouva quelque peu mise en pause à l’entrée d’une nouvelle. Tous les regards, y compris celui de John, alors qu’il nettoyait des verres, se posèrent sur la nouvelle venue. Seule la musique de fond, du métal, continuait sans se soucier de ce qui se passait. Ici, on croisait souvent les mêmes personnes, tout le monde connaissait plus ou moins tout le monde. Alors l’arrivée d’une étrangère apportait un peu d’animation supplémentaire. « Ma parole, elle est déjà bourrée. ». Devina le Barman à l’allure de cette cliente. C’était la première fois qu’il la voyait. Il se disait que c’était une fille genre rebelle, ou une mercenaire, quelqu’un de louche. Mais sans doute que l’alcool l’avait encouragé à venir dans l’endroit sans doute, le plus dangereux de la ville. Le barman ne dit rien, laissant faire. Il verra bien ce qui allait se passer. Ce qui ne tarda pas en fait.

« Eh John ! Un autre Rhum s’te plait. Le même. »
« Ok, ça arrive, vais le chercher. »

Ce qui était bien avec ce genre de clientèle, c’était que l’alcool coulait à flots et que jamais l’ancien commandant n’avait de surplus. Par contre, quand il fallait payer… Il y avait quelques ardoises qui traînaient par ici et par là. John s’en alla donc dans la petite réserve juste derrière son bar pour chercher quelques bouteilles afin de réapprovisionner et servir. Dans une caisse, il y rangea quelques bouteilles rangées sur des étagères métalliques prévues à cet effet, prenant en priorité, ce dont on venait lui commander. C’est alors qu’il entendit des cris. Des protestations et à ce qui ressemblait à un début de bagarre. Le mercenaire sentit la colère montait en lui. Arrêtant son œuvre, il sortit avec la caisse à moitié remplit de la réserve pour voir ce qu’il se passait.

Un de ses clients voulait s’amuser avec la petite nouvelle. Déjà soûle, elle avait du mal à se défendre contre un gars aussi baraqué que cet idiot. Et les autres qui profitaient du spectacle comme si c’était un numéro de prestidigitateur. Il n’en fallait pas plus à Shepard pour le faire réagir. Il posa violemment sa caisse sur le bar, faisant tout trembler. Mais il s’enfichait s’il cassait quelque chose. IL alla se glisser derrière l’agresseur qui maltraitée la jeune femme, et lui gronda en l’attrapant au niveau de l’épaule :

« Ca suffit, arrête ça Argus ! »
« Mêles toi de tes affaires ! »

Mauvaise réponse. Alors qu’Argus voulait chasser le bras de John, ce dernier, d’un mouvement rapide, attrapa le sien. Avec une prise, il immobilisa son client d’une main, et avec l’autre, il torda le bras jusqu’à ce qu’un craquement se fit entendre dans tout le bar et que le gros-bras se mette à pleurer et jurer de tous les noms. Shepard ne lâcha pas prise, il tira encore plus fort, à croire qu’il allait lui arracher le bras.

« Tu as fini c’est bon ?! »
« Oui lâches moi maintenant ! »

John libéra l’homme, qui avançait en boitant, comprimant son épaule qui lui faisait atrocement souffrir, et les muscles de son bras qui le tiraient, marmonnant contre John, le traitant de bâtard. Mais le barman ne le releva pas. Au lieu de ça, il jeta un regard aussi noir que la nuit, et aussi froid que l’antarctique à toute l’assistance qui avait perdu son sourire de tout à l’heure. John était un homme d’honneur, comptait sur lui pour faire respecter les règles à la lettre. Pointant son doigt vers tout le monde, il leva la voix, faisant bien sentir sa colère en lui :

« Je ne veux pas de ça chez moi ! Si vous voulez vous battre, c’est dehors ! Sinon…»

L’avertissement semblait avoir était compris. Tout le monde baissa la tête et retourna dans leurs occupations, sachant qu’il valait mieux ne pas chercher des poux au barman. Ce dernier voyant que tout rentrait dans l’ordre, retrouva un semblant de calme et alla voir la jeune femme. Elle était dans un sale état. Si elle n’était pas aussi bourrée, sans doute serait-elle une beauté à coupé le souffle. John était un rien dragueur, euphémisme, mais pas un qui sautait sur tout ce qui bougeait. Mais il ne pensait pas à la drague, surtout en ce moment, se disant qu’il était plus important de l’aider avant tout.

« Ca va aller ? Je vais vous donner quelque chose qui va vous requinquer. Un café si vous voulez.»

John se dirigea déjà vers son bar pour servir la jeune femme. Quelque chose de fort pour l’aider à retrouver ses esprits était sans doute la bienvenue. Il ne faisant aucun doute que sa venue ici était le fruit du hasard. Elle n’était pas du genre bagarreur, alors que la majorité des clients ici oui. Elle ne pouvait pas tomber plus mal, mais elle avait la chance que ce soit John le patron ici.

« Alors dites-moi, qu’est-ce qu’une jolie fille comme vous, fait dans un endroit comme celui-là ?»
Zoe Baker
Zoe Baker

*
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"i'm a shadow, one that no light will shine on. as long as you follow me, you will never see the day." - Ft.John. |TERMINE. EmptySam 20 Jan 2018 - 15:34
Si il aurait pût, il lui aurait tordu le cou. Il prenait un malin plaisir à l'encercler, resserrer sa prise autour de ce dernier pour ôter brutalement le souffle à la pauvre pharmacienne qu'il tenait captive. Très rapidement, son teint de peau changea de couleur pour un pourpre virant peu à peu au violet. Ses lèvres s'entre ouvraient pour rechercher l'air qui manquait à ses poumons, vainement. C'est la fin Baker. Pensa t-elle en fermant les yeux alors que l'individu plus haut qu'elle d'au moins deux têtes commençait déjà à la tripoter d'une façon plutôt malsaine. Que pouvait-elle faire d'autre si ce n'est se laisser partir, au moins Eveline ne l'embêterait plus et elle n'aurait plus à se justifier à quiconque sur son état psychologie défaillant ses derniers temps. Seulement voilà, dans la pénombre de sa conscience une seconde voix masculine se fit entendre, la voix de la raison paraît-il. Cette dernière ordonna à l'homme de relâcher sa captive et bien que ce dernier ne le souhaita pas, il fit en sorte que sa requête soit exaucée. Il relâchait sa main autour de son cou et ce fût un tel bonheur que même l'orgasme n'est rien comparé à cette sensation qu'elle ressentit en sentant de nouveau l'air se faufiler jusqu'à sous sa cage thoracique.

Instinctivement, elle se tint la gorge, cette gorge chaude et certainement marqué par la poigne de l'imbécile qui finit par s'en aller la queue entre les jambes telle un marmot enguirlander par son paternel. Elle s'amusa à passer ses doigts fins sur sa peau pour tenter de l'apaiser et reprendre conscience d'elle même, même si l'alcool ne l'aidait pas pour cela. Ce n'est que quand elle s'était sentie en sécurité qu'elle daigna finalement lever les yeux sur l'homme qui s'était interposé de force entre elle et le gorille. Quel homme. Avec son allure de leader, non, de patron, car oui, cet homme était bel et bien le responsable de ses lieux qu'il tenterait de préserver du mieux qu'il le peut. L'âme charitable, il s'assura que la pauvre et unique demoiselle des lieux se porte bien, venant même jusqu'à lui offrir un remontant pour l'aider à passer l'horrible mal de crâne qui commençait peu à peu à lui broyer les neurones. Un café. Avec ce qu'elle venait de boire, le mot manqua de la faire mourir de rire. C'était comme proposer une cigarette en chocolat à un fumeur qui venait de se taper un paquet complet de cette drogue. Enfin, si elle pouvait avoir la paix et retrouver ses esprits, pourquoi pas. «J'ai connu pire..»  Souffla t-elle en restant un brin méfiante de l'environnement dans lequel elle se trouvait.

Pas à pas et en évitant de tituber voir de tomber, la jeune femme prit place au comptoir ou elle aurait le droit à son fameux café, mais avant, elle serait questionnée sur sa présence en ses lieux quelque peu, malsains. J'ai vu de la lumière, y'avait l'air d'avoir une chouette ambiance et je me suis dis "Pourquoi pas me faire prendre par l'un des cons à l'intérieur?" Pensa t-elle avant de laisser un discret rire s'échapper d'entre ses lèvres, tout en levant les yeux au ciel. Le mot "Jolie" était de trop pour elle. Il faut dire qu'elle n'a pas l'habitude de pareils compliments, non pas qu'elle est vilaine, bien au contraire, mais en général les hommes s'y prennent autrement pour la qualifier, un peu comme l'autre armoire à glace l'avait plus tôt. «Je m'suis perdue..» Lança t-elle un sourire de coin aux lèvres en levant de nouveau les yeux sur le propriétaire de l'établissement. C'était-elle réellement perdue? Oui. Dans tout les sens du terme. Physiquement, psychologiquement surtout, et l'alcool n'avait malheureusement pas besoin d'être présent pour qu'elle le saches. Sa vie n'était pas particulièrement rose comme celles de certaines femmes en ville, entre ses doigts pointés en sa direction pour la qualifier de meurtrière et d'alcoolique, et ses infâmes visions d'Eveline, ont ne peut pas dire que la vie lui sourit énormément. «Je tâcherais de ne plus vous causer d'ennuis à l'avenir. Si à chaque fois que vous devez sauver une demoiselle en détresse vous brutaliser vos clients, vous risquez vite de mettre la clef sur la porte surtout avec moi dans vos pattes.» Dit-elle de nouveau d'une voix un brin humoristique tout en conservant son sourire. Avec nonchalance, elle vint tout de même arranger sa chevelure en l'emprisonnant derrière son oreille droite pour éviter de paraître négligée voir cadavérique avec ce teint blafard. Cette fois, elle détourna les yeux pour jeter un regard derrière son épaule ou de discrets regards semblaient l'avoir reconnue. C'était fou, elle pouvait presque entendre d'ici les chuchotements et les ragots lancés à son égard, mais ses derniers avaient finit par ne pas l'atteindre directement, ils s'envolaient loin derrière elle, porter par la force du vent et surtout de sa volonté d'avancer quoi qu'il arrive, de continuer à se battre contre Eveline et contre tout ceux qui la prenait réellement pour plus folle qu'elle n'était réellement.
John Shepard
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▌AVENTURES VÉCUES : 340
▌ARRIVÉ(E) LE : 18/01/2018
▌CRÉDITS : Iorbix - Tumblr - Google - Bazzart

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"i'm a shadow, one that no light will shine on. as long as you follow me, you will never see the day." - Ft.John. |TERMINE. EmptyDim 21 Jan 2018 - 16:25
Perdue ? Pas qu’un peu. La pauvre fille a dû boire toute une barrique pour finir ici. Son esprit devait très bien être embrumé par l’alcool pour trouver cet endroit suffisamment attirant. Mais bon, John connaissait les ravages de l’alcool et ce qu’il pouvait pousser à faire. Il accentuait les envies de dangers, presque donner une grosse envie de suicide. Ne pouvant plus réfléchir quand on avait bu, on se laissait aller à ses plus bas instincts qui étaient souvent autodestructeur. Bas, n’y pensons plus. Shepard était rassuré de savoir la jeune femme en sécurité pour le moment. Si Argus lui avait fait le moindre mal, il aurait repeint son bar en rouge. Ce n’était pas la dernière fois qu’il recadrait le gros malabar, et sans doute pas la dernière. Pas évident de jouer le mercenaire, et en même temps le flic dans son propre bar, mais il le fallait, un semblant d’ordre était important.

John se mit à rire à la petite blague de la jeune fille. Perdre ses clients, voilà qui était impossible. Rares étaient les endroits qui voudraient d’eux à des kilomètres à la ronde. L’endroit était propice pour leurs affaires, suivre une certaine règle de conduite était le minimum imposait. On ne leur posait pas de question, on ne les contrôlait pas, c’était un peu un sanctuaire pour eux ici. Sans oublier que le prix des boissons était compétitif, cela attirait pas mal. Mais surtout, cela devait les rassurer de savoir qu’on ne leur chercherait pas trop de noise, sachant que le Cerbère qu’était Shepard, veillait un peu sur chacun. Pas de bagarre, sinon on s’en prenait une en plus de rembourser les dégâts. Donc, ils se sentaient dans une relative sécurité.

« Haha ! Non, vous en fait pas. Ici, on est comme dans une bande de pote. On se tape dessus, on s'insulte. Mais au fond, on est des types en or. » Conclut-il avec un clin d’œil.

Il notait que cela papotait dans leur dos. Sans doute des rumeurs qui circulaient, de nouvelles, prenant naissance ici même et allaient faire le tour de tous les réseaux du mercenariat. Une des choses pourquoi Shepard aimait cet endroit, ragot ou fait avérer, il pouvait tout savoir ici, se tenir au courant de n’importe quoi, sur n’importe qui. Alors, si jamais il avait besoin d’information sur quelque chose ou quelqu’un, il n’avait qu’à se diriger vers son propre Wikipedia. Mais il avait l’impression que la jeune femme n’était pas à l’aise, malgré son taux d’alcool, qui devait plus que dépasser la limite autorisée. Il tenta de se montrer plus rassurant.

« Ne vous prenez pas la tête pour eux. Ils vous lâcheront pour ce soir, soyez tranquille, sauf si vous comptez aller les voir. Au fait, c’est quoi votre petit nom à vous ? »
"John Shepard qui veut se la faire ! »

Le Barman se redressa, et jeta un regard à glacer le sang sur celui qui venait de parler à son intention. Il était difficile de savoir si on était sérieux ou bien qu’on plaisantât ici. Alors le mieux était de répondre par le seul langage que toutes ces personnes semblaient comprendre. Le rentre-dedans, littéralement. Déjà, le regard semblait faire comprendre au provocateur qu’il était à ça aussi de se faire briser les bras et pleurnicher comme son compère.

« Rye ! Je te conseil de la bouclé. »

De simples mots qui ont sussent calmer un autre mercenaire. Enfin mercenaire, cet homme était plus spécialisé dans le trafic et la vente au marché noir. Mais il y avait quelques meurtres à son actif. Mais ce n’était pas un dur comme on pouvait souvent le voir à la télé ou partout ailleurs. Comme le calme semblait revenir, John pouvait se re concentrer sur sa nouvelle cliente. Elle n’avait vraiment rien à faire ici, elle n’était pas un danger pour lui, alors il baissa un peu sa garde. Mais pas trop, on ne savait jamais qui pouvait être.

« Il faut toujours les surveillés cela. Sinon, vous n’avez besoin de rien ? Un verre je vous le déconseil, mais je peux vous offrir autre chose. Peut-être même appeler quelqu’un pour vous si vous voulez. »
Zoe Baker
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"i'm a shadow, one that no light will shine on. as long as you follow me, you will never see the day." - Ft.John. |TERMINE. EmptyDim 21 Jan 2018 - 18:00
Des ennuis. Elle était plutôt douée pour les ramener malgré son joli minois. On ne peut pas dire que ses fréquentations soient également bonnes. En général, la jeune femme préfère éviter de s'attacher à quiconque pour ne pas être déçue et pour le moment ça avait l'air de marcher plutôt bien.  Elle en avait eut la malheureuse expérience à son arrivée à Game City. Elle se disait que sa vie aurait pût être bien pire, mais au final, elle était parvenue à s'en sortir malgré son séjour en milieu hospitalier. Elle était à la tête d'une des plus prestigieuses officine en ville, et servait pour le bien de l'humanité. Les maladies, elle apprenait à les combattre en fournissant à ses patients le nécessaire pour combattre ses virus et le simple fait d'apporter du soutien à quelqu'un l'aidait à reprendre peu à peu confiance en elle. Elle avait également eut droit à une charmante petite maison, plus petite que la ferme familiale dans laquelle elle avait grandit, mais beaucoup plus chaleureuse et moderne. Tout aurait pût lui sourire, et ce d'avantage quand cet homme était tombé sous son charme. Il l'a courtisait et c'était presque plaisait de se laisser séduire par ce dernier. Sans le savoir réellement, elle était tombé dans son petit jeu, et ne l'avait comprit que lorsqu'ils échangeaient un premier baiser. Pas n'importe quel baiser, un vrai baiser sincère qui était parvenu à faire naître en elle une petite étincelle d'espoir en un avenir meilleur. Malheureusement, Eveline est revenu remettre le bazars dans sa vie sans scrupule et le seul homme qui pouvait l'aimer l'avait lâchement abandonné, lassé de ses visions et de ses hurlements de peur nocturnes. De nouveau seule et livrée à elle même, elle s'était promise dès ce jour à ne plus tomber dans le jeu des hommes, de peur d'être à nouveau déçue et qu'une énième déception ne la fasse encore plus sombrer qu'à l'heure actuelle.

Seulement ce soir, tout semblait différent. L'alcool lui donnait l'air plus sympathique,bien que sa cervelle était sacrément embrumé par la liqueur alcoolisée qu'elle avait consommée plus tôt.Installée au comptoir, elle se permit une petite mise en garde à son sujet qui ne manqua pas de faire rire de bon coeur le propriétaire des lieux. Ce n'était certainement pas Zoe qui ferait fuir la clientèle d'après lui. Une clientèle particulière qui avait presque habitude de se "taper sur la tronche" quand problème il y avait. Et bien, tant mieux pour eux dans ses cas la, au moins elle ne serait pas la cause d'un mal être ou d'une perte de bénéfice, ce qui ne pouvait que la rassurer. L'homme vint par la suite lui demander son prénom, chose qu'elle s'apprêtait à faire avant qu'un imbécile joyeux ne vient remettre une couche et de l'huile sur le feu. «Jaloux?» Grogna la brunette en jetant un œil à l'abruti très vite mit à l'amende par le concerné de sa boutade. Sa petite pique fut suivi d'un bref soupire et c'est tout naturellement qu'elle revint observer le charmant propriétaire de l'établissement pour lui répondre. «Zoé..» Elle aurait pût rajouter le "Baker" avec mais elle n'en avait pas la force parce que ce nom de famille lui rappelait encore trop de mauvais souvenirs qui se feraient un plaisir de resurgir pour l'abattre une bonne fois pour toutes. La politesse voudrait être qu'elle demande à son tour l'identité du garçon, c'était de toute façon la seule chose qu'elle pouvait faire pour paraître un minimum sociable et c'est ce qu'elle ferait aussitôt, presque gêné. «Est-ce que j'ai le droit de connaître le nom de celui qui m'a sauvé ce soir ou bien je dois le deviner?» Demanda t-elle d'une voix un tantinet joueuse, son sourire de coin aux lèvres. Il n'y a pas à dire, l'alcool aide pas mal en matière de sociabilisation. Enfin,ça ne réussi pas à tout le monde car certains ont pas mal de soucis d'agressivité à cause de cela, par chance ce n'était pas le cas de Zoé qui aurait presque paru plus "normale" que sobre.

Elle se rappela alors la façon dont il avait sût faire taire les hommes présents ici. En tout cas, il ne semblait pas manquer d'autorité et c'était plutôt plaisant que quelqu'un sache se faire respecter ici, d'avantage en sachant qu'il s'agissait du propriétaire. Ce n'est pas le cas de tout les commerces malheureusement, et Zoé n'imaginait même pas si elle aurait dû avoir affaire à des clients pareils dans sa pharmacie, elle aurait certainement dû avoir affaire aux autorités locales pour calmer le jeu.«Vous savez plutôt bien vous faire respecter. Vous n'avez jamais envisagé une carrière dans la sécurité? C'est ce qui me manquerait à ma pharmacie tiens.» Plaisanta t-elle. Ce n'était pas que dans la pharmacie que cela manquait malheureusement mais dans sa vie courante et personnelle car plus les jours s'écoulaient et plus Zoé avait du mal à faire face aux visions de Eveline et ce que ses dernières engendraient au point qu'elle s'était d'elle même convaincue qu'elle était totalement folle et que rien ne pourrait la guérir.
John Shepard
John Shepard

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"i'm a shadow, one that no light will shine on. as long as you follow me, you will never see the day." - Ft.John. |TERMINE. EmptyLun 22 Jan 2018 - 16:12
Zoé, joli petit nom. Pour être petit, il l’était en plus d’être mignon. Et, elle devait être la première que Shepard connaissait portant ce nom. Peut-être mise à part pendant qu’il faisait ses classes en rentrant dans l’armée. Peu importe, il n’allait pas blablater sur le sujet, de toute manière, à qui cela intéresserait d’ailleurs. Même lui s’en moquait. Et ce serait bien plus gentleman de sa part d’apprendre à mieux la connaître que parler de sa vie. Sa vie, qui n’était que fictive, issus d’un univers du divertissement et dont son destin ne dépendait ni du karma, du destin, du ciel, mais d’êtres faits de chaires et d’os. Mais il se posait la question, si Zoé était comme lui. Était-elle une native de ce monde, ou bien une création de celle-ci, se retrouvant coincé dans cette ville. Mais justement, quand il voulait en savoir un peu plus, Zoé le prit de court et lui posa une question, celle sur son nom.

Un sourire amusé lui échappa. Ce n’était que le juste retour des choses, elle avait donnée le sien, normal qu’il en fasse autant. Mais ce qui était drôle, c’était que justement, elle le connaissait. Le crétin de client au bar venait de le crier sur tous les toits. L’ancien commandant mettait ça sur le compte de l’alcool. La boisson lui faisait perdre la tête et diminuer sa concentration. Sinon, elle devait être sacrément douée, une surhumaine, ou bien elle faisait semblant. Et dans ce cas, elle était très bonne actrice. Mais John connaissait trop bien la boisson pour savoir que ce n’était pas le cas.

« Comme la si bien fait mon chère client, je me nomme John Shepard. Le commandant du Normandy. Mais ça, vous avez dû l'avoir compris. »

Shepard avait sans doute dit Commandant au lieu de propriétaire par nostalgie. Car même s’il savait sa vie passée être fausse, elle lui manquait. Enfin, il avait vraiment vécu tout cela, du moins en avait-il l’impression. Il était vivant, il ressentait chaque peine, chaque douleur, chaque joie… Même enfant, il en avait des souvenirs. Une partie en lui devait s’y accrocher encore, ne voulant admettre cette vérité qui a dut rendre fou plus d’un. Et la question de Zoé n’arrangeait pas les choses. La sécurité, être dans l’armée et avoir rejoint les Spectre n’était pas rien. La sécurité, c’était toute sa vie. Protégé une galaxie entière. Sauver des milliards et des milliards de vie… Ce n’était pas rien non plus.

« C’est sympa de votre part. Il faut savoir imposer un semblant d’autorité. Sinon c’est le bazar monstre. Mais je dois vous dire que j’ai déjà bosser dans la sécurité il y a un temps. Ça remonte. »

Un souvenir, rien de plus. Sa vie dans l’armée était du passé de toute façon, et il avait fais une croix dessus pour y revenir. Jamais Shepard ne reviendrait chez lui, c’était une évidence. Et à la longue, il s’était habitué à vivre ici, se réadapter à un tout nouveau mode de vie.

« Mais vous ? Vous faites quoi dans la vie ? Vous travaillez dans une pharmacie c’est ça ? »

Il prit quelques minutes pour écouter Zoé, lorsqu’un moment, des clients l’appelèrent pour être servit. Ils commençaient souvent la même chose, alors pour les servir, c’était assez rapide. John vidait une bouteille, et il apportait en suite son contenu en le distribuant à presque tout le bar.

« OUI J’ARRIVE ! Excusez-moi je vous prie. »

Il se dépêcha pour sortir les boissons et remplir choppe et verre sur un plateau, et ceux avec une habileté qu’on gagnait après une longue expérience. Shepard se voulait pro et rapide, afin de ne pas laisser sa nouvelle « protégée » seule trop longtemps. Il aimait garder un œil partout, surveiller comme un dictateur et s’assurer que tout irait bien. Ayant eu beaucoup de responsabilité sur les épaules, il gardait quelques habitudes de son ancien univers comme le fait de veiller ou commander. Il avait un charisme naturel, et savait prendre de lourde décision, et donc, un besoin d’un peu tout contrôlé, mais rien de maladif.

« Je m’absente pas longtemps je reviens. S’il y a quoi que ce soit, je suis juste à côté. »
Zoe Baker
Zoe Baker

*
▌JE SUIS NÉ(E) LE : 01/11/1985
▌ÂGE DU PERSONNAGE : 38
▌AVENTURES VÉCUES : 369
▌ARRIVÉ(E) LE : 02/10/2017
▌CRÉDITS : bazzart.
Ton âge : 26ans.
localisation : Certainement à la pharmacie.
emploi : Propriétaire de la Pharmacie du Mideel.
humeur : amoureuse.

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"i'm a shadow, one that no light will shine on. as long as you follow me, you will never see the day." - Ft.John. |TERMINE. EmptyLun 22 Jan 2018 - 16:43
Les rires sourds derrière elle agressaient ses tympans, mais elle n'en dirait rien. C'était de sa faute si elle s'était retrouvée ici, alors elle n'avait qu'à assumer la conséquences de ses actes dénués de bon sens. Au final, elle s'était résolue à ne compter que sur cet homme qui se présentait à elle. Un homme qu'elle ne connaissait pas, ni en temps qu'être humain, ni en temps que "patient". En même temps, avec toute la population de Game City, difficile de se rappeler de tout le monde, qui puis est, la jeune femme n'avait pas sût établir autant de liens que le ferait quelqu'un de populaire. Elle s'était de suite bien entendue avec la dénommée Claire Redfield, et la petite Navi. La pauvre Navi qu'elle avait renversé malencontreusement. Encore aujourd'hui, la victime d'Eveline s'en voulait terriblement. De sa faute, une jeune femme a manqué de mourir et pire encore, aujourd'hui elle avait de profondes séquelles psychologiques et physiques, mais Zoé s'assurait qu'elle se porte bien. Elle n'avait pas encore eu le courage d'aller lui parler, de lui révéler que c'était elle qui se trouvait au volant et qui l'avait percuté de plein fouet. Elle n'en avait tout simplement pas la force. Alors, en attendant, elle préférait oublier ses tracas quotidiens en buvant. Un petit verre, puis un deuxième, et même un troisième avant de se rendre compte que la bouteille était vide. Elle ne le faisait pas intentionnellement. Zoe avait vraiment besoin d'aide et c'était presque un semblant d'un appel en détresse de sa part.

La jeune femme se présenta au garçon, et à son tour, il en fit de même. Il se présenta comme le "Commandant du Normandy". A vrai dire, elle ne s'était pas éternisé sur le mot "Commandant" pensant qu'il voulait simplement dire qu'il tenait les rennes du bar dans lequel elle se trouvait. C'était une manière pour lui de dire "Patron", certainement. «Et bien. Enchanté John.» répondit-elle un sourire poli sur les lèvres, avant qu'il ne lui montre un quelconque intérêt. Cet intérêt qu'il avait la surprit quelque peu. Jamais personne ne s'était intéressé de savoir ce qu'elle faisait dans la vie ou voir même qui pouvait-elle être, mis à part Claire Redfield. Doucement, elle entre ouvrait les lèvres pour s'apprêtait à lui répondre, mais plusieurs hommes vinrent l'interrompre. C'était ça d'être gérant d'un établissement. Ils réclamaient leurs boissons, et vu qu'ils les paieraient c'était plus que normal qu'ils le fassent. Ce n'est pas elle qui dirait quoi que ce soit, elle préférait rester calmement au comptoir à boire son café pour se remettre les idées en place.«Faites donc.Je ne vous retiens pas.» Lui souffla la brunette en souriant toujours aussi poliment. C'était bien plus agréable que de tirer une vilaine grimace presque de porte de prison. Ainsi dont, la demoiselle resta seule le temps que le propriétaire des lieux lui revient. Son regard se portait sur le comptoir, sur les bouteilles d'alcool et les verres puis de nouveau sur l'assemblée ou du moins sur les clients présents.

Ses hommes qui lui ressemblaient étrangement et elle en avait honte. Ils cherchaient tous à fuir leur problèmes, certains buvaient par plaisir, mais d'autres se noyaient dans l'alcool. C'était gênant et honteux. Elle se demandait réellement ce qu'elle avait put faire pour tomber aussi bas. C'est petit et médiocre mais ce n'était pas de sa faute à elle. Son regard vint par la suite se porter sur le tatouage qu'elle s'était faîtes en l'honneur de sa famille. Ce mot qui, malheureusement n'avait plus trop de signification.Family. Une famille détruite, un frère qu'elle ne comprendrait jamais et deux parents qui avaient finis par devenir des monstres alors que tout semblait leurs sourires. C'était malheureux mais c'était bien la, la réalité de la vie. Aujourd'hui, elle n'avait pas retrouvé Jack ou Marguerite et encore moins Lucas, tout comme elle n'avait pas revu Ethan ou Mia et mieux vaut ne pas les voir, les retrouvailles risquent d'être quelque peu, mouvementées.
John Shepard
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"i'm a shadow, one that no light will shine on. as long as you follow me, you will never see the day." - Ft.John. |TERMINE. EmptyMar 23 Jan 2018 - 17:46
Ramasser les verres vides, les remplacer par des pleins, accepter des pourboires, être payé, voilà ce, que faisant John après avoir laissé Zoé. Il avait fait ça tellement souvent, que maintenant, c’était comme automatique. Prendre, servir, payer, voilà un cycle que Shepard s’était donner, préférant sans doute mieux celui-ci que celui imposer par ces calamars robot de l’espace tous les cinquante mille ans. Ramassant les derniers verres, il revint au comptoir et déposa les contenants dans levier prévu. Il fit tout de même de ne pas en briser un, les posant soigneusement. Ça ne coûtait pas chère, mais il n’aimerait pas en briser un toutes les heures. À la longue, cela reviendrait à une petite fortune et ne ferait sans doute pas professionnel.

"Excusez-moi, quand le devoir appel… Alors oui, vous travaillez depuis longtemps dans une pharmacie ? C’est la quelle ?"

Il fallait plus pour faire oublier à l’ancien commandant sa discussion d’avant. Sans doute parce qu’il était sérieux en posant ces questions. Il s’intéressait un peu à la vie de la jeune femme et voulait l’aider à se sentir un rien à l’aise dans son antre. Sur le Normandy, son bon vieux vaisseau, il parlait à chaque membre de son équipage. Il apprenait les connaître, chacun. Que se soit sur le plan professionnel ou personnel, il se souciait de chacun d’eux. Si un de ses membres avait des ennuis, il accourait pour le sauver. Sachant comme fonctionnait plus ou moins chacun, il savait comment agir au mieux avec elle. En réalité, entre l’ancien et le nouveau Shepard, la différence restait mince.

"Je ne suis pas très caller en médecine, mais j’ai quelques notions va-t-on dire. Vous avez fait des études spécifique ?"

John connaissait les premiers soins qu’on pratiquait dans l’armée. Mais avec toutes les technologies futuristes de son monde, la médecine, y compris la pharmacologie était accessible à tous. Il se souvenait de ces combinaisons dans l’armée qui pouvait aider à régénérer les tissus, les médicaments de son médecin de bord, ou le traitement resut à Cerberus. Mais même s’il était plus porté sur l’action, le combat, Shepard trouvait l’étude de l’organisme et des maladies fort intéressant. Et tout le monde était content d’avoir un médecin à porter de main quand ça allait mal.

Il se rappelait de ce virus, le Chronophage. Créer par un peuple, pour en détruire un autre. Il trouva cela abominable, c’était pour lui un génocide, et il était heureux qu’à la fin, cette même médecine qui voulait anéantir un peuple, permis de le sauver au bon moment de l’extinction. Mais là, c’était un autre domaine. Il n’avait plus trop l’habitude des bonnes vielles pharmacies d’antan. Quand il devait se soigner gamin, il devait se débrouiller. Puis il avait droit à un médecin attitré. Une pharmacie dont parlait Zoé était peu familière au grand châtain. Mais pas inconnu pour savoir quoi poser comme question. Surtout que depuis son arrivé ici, à GameCity, il a pu apprendre à vivre à la manière de ses ancêtres et à faire ses repères.

Pour le moment, le barman trouvait Zoé intéressante, en tout bien tout honneur. Il espérait qu’elle n’était pas comme ça juste alcoolisé. Sachant qu’une personnalité pouvait bien changer une fois dix grammes d’alcool ingurgité. Si cela se trouve, Zoé pouvait bien se comporter comme une mégère dans la vraie vie, envoyer le monde balader ou se comporter comme une vrai pourrie envers le monde entier. Mais il en doutait un peu. Mais on verra ce que la vie pouvait apporter. De toute façon, John était déjà convaincu qu’une fois qu’elle aura quitter son bar, plus jamais il ne la reverra, qu’il ne veuille ou non. Autant profiter alors de ce moment de discussion.
Zoe Baker
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"i'm a shadow, one that no light will shine on. as long as you follow me, you will never see the day." - Ft.John. |TERMINE. EmptySam 27 Jan 2018 - 22:11
Cette ambiance était malsaine, dangereuse pour elle et rester seule n'était pas la meilleure solution. Prise d'une panique nouvelle et soudaine, la jeune femme chercha l'attention du propriétaire des lieux, tout comme elle scrutait attentivement le moindre déplacement de ses hommes de peur que l'un d'eux reviennent à la charge et ne l'enquiquine. Le point positif dans tout cela, c'est qu'elle n'avait pas encore revu Eveline depuis son état d'ivresse, si ivre elle l'était. A force de boire, Zoe avait apprit à tenir l'alcool. Son corps peiné juste à trouver le bon équilibre et ses pensées n'étaient pas toujours très cohérentes mais le principal c'est qu'elle n'était pas agressive ou hors de contrôle, la, ça aurait pût être un éventuel problème. Zoe restait lucide, voir même un peu trop, tout comme sa sociabilité qui avait tendance à grimper en flèche avec un voir deux verres de trop dans le nez. En attendant, elle ne resta pas longtemps seule car le fameux "John" revint à elle pour reprendre leur discussion la ou elle s'était arrêtée. La demoiselle lui offrit un bref sourire, se pinçant les lèvres en cherchant avec exactitude les mots qu'elle utiliserait pour se présenter, ou du moins décrire sa profession qui, aujourd'hui, lui tenait beaucoup à cœur. «Cela fait, un petit moment oui que je travailles en tant que pharmacienne... Elle se situe à Mideel Square. "La pharmacie du Mideel" tout simplement, j'en suis la propriétaire.» avoua t-elle. Ses réponses étaient aussi claires que de l'eau de source, difficile de croire qu'elle avait but alors qu'elle parvenait plutôt bien à situer l'endroit sans s'emmêler les pinceaux. Le sens de l'orientation n'était pas une chose dont se rappelait les ivrognes, enfin, nommer le lieu n'était pas s'y rendre, et à vrai dire, il allait dans son état serait comme de la placer à l'intérieur d'un labyrinthe sans issu, jamais elle ne s'en sortirait.

L'homme lui demanda par la suite son parcours "scolaire" pour être la femme et professionnelle en médecine qu'elle était aujourd'hui. A sa demande, elle ne pût s'empêcher de rire, un rire plus nerveux que naturel. A vrai dire, elle n'avait suivit aucun parcours, Zoe était douée de nature pour élaborer des remèdes médicaux capable de guérir les plaies des individus. Il suffisait juste de lire les bouquins, et au pire des cas, s'en connaître un minimum en médecine, pas besoin de faire des études supérieures pour cela. En attendant, l'homme attendait une réponse, et il fallait qu'elle soit un correcte pour paraître normale aux yeux du propriétaire du Normandy. «Mes études remontent à plusieurs années en arrière même si la base pour être pharmacienne est le diplôme de préparatrice en pharmacie. Disons que la médecine est une chose qui m'a toujours passionnée depuis que je suis petite..Et comme vous devez vous en douter, je n'ais pas fais mes études à Game City.»  Non. Comme tout les habitants de cette ville, Zoe était issu d'une autre ville, elle avait grandit à Dulvey, en Louisianne, peut-être que ce nom lui parlerait, ou pas, en attendant, elle ne voulait pas s'éterniser la dessus, et se contenta de brèves explications pour éviter que de maux de tête ne viennent l'assaillir à nouveau. «Et vous.. John. D'ou vous est venu l'idée d'être propriétaire de ce "merveilleux" bar? Je supposes qu'il ne faut pas de diplôme particulier pour cela, à moins d'avoir celui de barmaid?» Demanda t-elle en souriant de ses belles dents blanches. Oui, Zoe n'aimait pas trop retenir l'attention des autres, elle préférait se focaliser sur leurs vécus, leurs vies à eux qui seraient beaucoup plus passionnantes que la sienne, un peu triste, noire, maussade même.
John Shepard
John Shepard

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"i'm a shadow, one that no light will shine on. as long as you follow me, you will never see the day." - Ft.John. |TERMINE. EmptyLun 29 Jan 2018 - 18:25
Zoé raconta à John pendant qu’il nettoyait des verres, son parcours pour devenir la propriétaire de la pharmacie du Mideel. Sans rien dire, il l’écouta parler, faisant attention à ce qu’elle disait. Shepard avait aussi l’impression que la jeune femme arrivait à bien s’exprimer et se tenir, ce qui démontrait qu’elle était déjà moins soûle qu’avant. Il ne connaissait rien dans les grandes études, passant presque de la case lire et écrire à soldat directement. L’orphelinat lui avait enseigné quelques petites choses bien entendu, mais le principal était vu soit à la rue, ou bien lors de son enseignement militaire. Son avis alors sur la question des études ? Il s’en fichait. En fait il respectait ça, car chaque métier, du moins la plupart avait son importance et exigeait une formation précise pour chaque. Il ne sera sans doute jamais un scientifique ou un médecin, mais il pouvait être fier de ce qu’il faisait. Un savant serait content d’avoir l’expérience de John à sa disposition et vice-versa.

Cette fois, ce fut Zoé qui posa des questions sur John. Une demande logique, il avait eu droit à des informations sur elle, il était normal d’en donner de mêmes valeurs. Mais parler de son passé n’était pas facile. Déjà, il était faux, du moins n’était qu’une réalité virtuelle, une simulation pour jeu. Ensuite, vrai ou pas, repenser à tout cela le rendait quelque peu nostalgique. Il ne pouvait au fond de lui, se demander ce qui a bien pu arriver à ses amis. Étaient-ils tous ici avec lui, ou bien mort ? Sans doute, ne le saura-t-il jamais. Mais cela sonnait un peu comme une perte, ceux qu’il avait promis de protéger avaient disparu. De quoi le réconforter dans l’idée qu’il n’était pas un héros, juste un piètre protecteur. Mais pour répondre à Zoé, le mieux serait d’éviter de tout raconter.

"Et bien, pas de diplôme en poche on va dire. Je dois paraître bien bête à côté de vous ha ! Pour avoir ce commerce, il fallait batailler, mais j'avais le caractère pour. J'ai dû apprendre à me débrouiller très jeune, puis passer une grande partie de ma vie à l'armée avant de prendre ma retraite. Il fallait bien que je m'occupe. Alors j'ai vue cet endroit à vendre pour presque rien et me suis dis pourquoi pas. J'ai tout refait du sol au plafond. On dira que c'est le destin qui ma guider sur cette voie."

John aurait très bien pu devenir policier ou gardien de quelque chose avec son expérience. Mais cela impliquait de la paperasserie. Et il en avait assez de recevoir des ordres. L’Alliance, il leur en voulait, jamais elle n’avait soutenu son meilleur soldat, et encore moins cru lors de la menace des Moissonneurs. Et le Conseil, pas mieux. À chaque fois, il voulait bien faire son travail, ses chefs lui mettaient des bâtons dans les roues. Pourquoi ? Parce qu’en tant que soldat, il n’était qu’un pion, servant les dessins des plus puissants. Une simple pièce d’échec qu’ils pouvaient sacrifier si cela leur était profitable. Alors, il valait mieux se mettre dans le « privé », un petit boulot tranquille avec le bar, mais en tant que Mercenaire, il ne rendait de compte qu’à lui.

"Je trouve ça bien que vous aillez pu faire ce que vous vouliez petite. Pour réaliser ses rêves, ce n’est pas une mince affaire."

Shepard ne se souvenait que d’un rêve étant gosse, la liberté. Juste ne plus rester coincé dans cet horrible orphelinat. Il aimerait en savoir plus sur ses origines, mais cela semblait être peine perdue. La liberté par contre, ça, c’était possible à avoir. Mais pas à n’importe quel prix. John voulut tenter une question bien dangereuse, enfin, cela dépendait du point de vue. Mais quand on la mentionnait, on pouvait avoir droit à des réactions explosives, voir exagéré. Mais éprouvant de plus en plus de sympathie pour la jeune femme, il voulait demander par souci de l’autre, que par curiosité. Il fallait juste trouver les bons mots. Alors, il se prit quelques secondes pour y réfléchir avant. Il voulu tenter sur le ton de l’humour pour adoucir la chose.

"Eh sinon, vous vous baladez souvent dans les bar comme ça ? Vous semblez en tout cas bien aimer la fête on dirait."
Zoe Baker
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"i'm a shadow, one that no light will shine on. as long as you follow me, you will never see the day." - Ft.John. |TERMINE. EmptyMar 6 Fév 2018 - 11:03
Elle n'aimait pas spécialement s'éterniser sur son cas. Sa vie n'a pas toujours été exemplaire et ce même si elle cherche constamment à se rattraper en aidant les autres. Aider les gens, c'est ce qu'elle a toujours fait de mieux et ce depuis l'époque "Dulvey". A cette époque, un parasite s'en était prit à sa famille. Ce parasite avait un nom: Eveline. Encore aujourd'hui, ce prénom hante ses jours et ses nuits. Ce parasite s'en est prit à sa famille, il est parvenu à les rendre tous complètement fous, eux qui pourtant, était une famille respectueuse et respectable. Bien entendu, Zoé n'a pas été épargnée de ce fléau, elle s'en est juste, un peu mieux sortie que les autres. Elle était parvenue à s'isoler dans les jardins de la ferme familiale, à l'intérieur d'une petite caravane ou elle était sûre de ne pas faire de mal à quiconque et surtout, que Eveline ne chercherait pas à l'atteindre. Ses deux parents, eux, restaient cloîtrés dans la demeure, à attendre l'arrivée de pauvre gens qu'ils tortureraient jusqu'à la mort. Ils riaient comme de bons diables, ironique quand ont sait qu'ils sont bons croyants de base mais ce n'était pas eux qui mener les rennes, c'était Eveline. Zoe a cherché à de nombreuses reprises à sauver tout ses pauvres inconnus du sort que leur réservait sa famille, sans jamais y arriver jusqu'à ce que cet homme arrive. Ethan Winter. Lui, elle était parvenue à le sauver mais pas que, sa femme aussi, Mia Winter. Et qu'avait-elle récolté en échange? Un abandon.

Mais tout cela appartient désormais au passé. Aujourd'hui, la jeune femme cherche tant bien que mal à se reconstruire malgré ses démons passés et la présence constante d'Eveline auprès d'elle sous forme d'hallucinations. Attentivement, elle écoutait le dialogue de John, cherchant à le mémoriser, même si l'alcool ne l'aiderait pas à la tache. Elle avait honte de se dire qu'elle ne se souviendrait que très vaguement de cette conversation au lendemain matin, mais sur l'instant, cela lui faisait un bien fou de parler, pour ne penser à rien d'autre qu'à ce dialogue, qu'à ce garçon ici présent. «Vous êtes courageux..» dit-elle un sourire franc aux lèvres, la tête penchée sur le côté alors que lui commençait à parler de rêves et d'une quelconque façon de les exaucer. Son rêve? Ce n'était pas cette vie. Elle aurait aimé vivre dans d'autres circonstances, sans passer pour une pauvre alcoolique ou une folle. Elle voulait que quelqu'un l'aime pour ce qu'elle était, pour la femme courageuse qu'elle était. Elle voulait pouvoir se confier à quelqu'un, que cette personne n'éprouve aucune peur à son égard, bien au contraire, qu'il cherche à l'aider à surmonter ses faiblesses pour la rendre, un peu plus forte. C'était un travail sur elle même difficile à faire, mais tôt ou tard, Zoé y arriverait, Eveline ne prendra pas le dessus sur elle, jamais.

La prochaine question du brunet manqua de la faire mourir de rire, mais elle se contenta juste d'en rire bêtement, amusé par ce qu'il lui demandait. Si elle avait l'habitude de fréquenter les bars? Pas spécialement. En temps normal, elle préfère s'isoler chez elle, avec ses bouteilles, cachée du monde , honteuse de devoir consommer autant d'alcool pour juste, oublier. La surconsommation d'alcool sert à ça en temps normal, à oublier la misérable vie que l'on mène jour après jour et ont ne peut pas dire que sa rupture avec Leon ait servi à la sevrer, bien au contraire. «Oh non.. vous vous méprenez sur mon compte. Pour tout vous dire, c'est la première fois que je me retrouve dans un bar, entourée d'autant d'hommes prêt à me bondir dessus pour me faire subir les pires atrocités au monde. Je suis plutôt casanière d'habitude.. » avoua t-elle une petite grimace au visage. Le monde extérieur, elle n'aime pas ça et en même temps, elle se doit d'être en pleine forme pour être présentable à la pharmacie au lendemain. «mais j'accepte l'étiquette, du moins pour ce soir. Eviter de me prendre pour une fêtarde dès demain si vous venez à me croiser dans la rue ou la je risque de me fâcher.» lui dit-elle calmement en lui offrant même un petit clin d’œil amical pour lui faire comprendre qu'elle n'avait pas prit son jugement au premier degré, mais bien au second. Elle ne pouvait de toute façon pas le nier qu'elle avait un problème avec l'alcool, après, de la à dire qu'elle était fêtarde, non. Zoé est tout sauf fêtarde d'ailleurs, préférant son sérieux et son ambition à l'amusement qui pourrait, lui, nuire à sa réputation déjà pas fameuse.
John Shepard
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Lui courageux ? Shepard se verrait plus comme un fou. Il fallait bien avoir un grain de folie pour aller affronter avec un tout petit vaisseau, mais puissant, une armée d’engin spatial vivant et apocalyptique. Il fallait sans doute être fou, pour prendre un allé simple dans un téléporteur, au milieu d’un champ de bataille recouvert de mort, pour arriver dans une station où vous devez tout faire sauter et où vous n’avez aucune chance de vous en sortir vivant. Et la liste ne s’arrêtait pas là. Et là, bien que les extra-terrestres et les I.A n’existaient pas, du moins jusqu’à preuve du contraire, il se mettait en danger, en fréquentant les personnes les plus dangereuses du coin. Le courage était de surmonter sa peur. Alors, avait-il peur quand il partait se battre ? Oui, mais des fois, il ne prenait pas le temps de savoir si ses jambes tremblaient.

John dut s’absenter encore quelques minutes pour servir. Le travail d’un barman ne s’arrêtait jamais. Mais cela lui laissa le loisir de réfléchir à ce que venait de dire Zoe. Elle n’était pas du genre fêtarde, alors pourquoi boire ? Pour le mercenaire et propriétaire du Normandy, il ne voyait qu’une seule réponse possible, elle voulait se détruire. Oublier sans doute, mais se tuer dans l’alcool. Il était bien placé pour savoir ça. Lui aussi était tenter de se tuer avec la boisson, surtout en découvrant la vérité. Et tous ces clients qui venaient s’écrouler chez lui… Mais il trouva dommage pour Zoé qu’elle en arrive ici. Elle n’avait rien à voir avec sa clientèle, elle avait une chance de mener une très belle vie, loin de la folie humaine. Il ne comprenait pas pourquoi elle se faisait du mal. Revenant vers elle avec de nouveaux verres à laver, il chercha un moyen d’en savoir plus.

"En tout cas, si vous vouliez vous amusez juste pour ce soir, vous ne pouviez pas choisir pire endroit."

L’alcool la sans doute dit « Ce bar sera bien pour s’éclater », mais inconsciemment, il devait lui dire « Vas-y tu seras sûr que tout finira enfin. » Qu’est-ce qui pouvait bien la pousser à ça ? La question prenait de plus en plus d’importance dans l’esprit du grand brun. Chacun après tout, avait ses petits secrets, une vie sombre derrière nous. Sans nul doute, que John serait choqué en apprenant la vérité. Mais le serait-elle pas non plus en le découvrant ? Cela ressemblait un peu à un cercle vicieux. On est torturé par son passé, on a besoin d’en parler pour se sentir mieux, mais on se retient, car on a peur des conséquences, et donc on continuait à souffrir, au lieu de se sentir mieux. Après tout, n’est-ce pas une bonne chose d’avoir un confident, quelqu’un qui puisse nous écouter et sans doute aider ? John y veillait sur son vaisseau, instaurant une confiance dans son équipage. Mais tout cela était fini depuis bien longtemps… Il serait bon sans doute de recommencer.

Se penchant, il chercha quelque chose sous le comptoir. Il sortit un bout de papier cartonné et un stylo. Il ne savait pas s’il prenait la bonne décision, mais se retenir et ne rien faire pouvait ne pas être une bonne solution non plus. Il fallait donc bien y réfléchir, mais choisir et voir si cela fonctionnait. De toute façon, Shepard n’était animé que par de bonnes intentions. Aucun plan, aucune stratégie ne se cachait dans sa tête. C’était un ancien soldat, devenu mercenaire, pouvant vous exploser le crâne à coup-de-poing ou juste avec un tir, qui avait bon cœur. Ayant griffonné sur le bout de papier, il le glissa à Zoé.

"Tenez, si jamais on vous cherche encore du grabuge ou besoin d’aide en tout genre, contactez moi. Jour et nuit."

C’était tout John ça. Il ne pouvait s’empêcher de vouloir sauver le monde. Et quand il vous aimait bien, et vous a prit sous son aile, il se transformera en ange gardien. Si à l’un de ses proches, on tentait de lui faire le moindre mal, attendait vous à le voir déchainer les enfers, et réduire la galaxie en minuscules atomes. Ce n’était qu’une image, mais elle était assez évocatrice. John sentait qu’il pouvait faire confiance à Zoé, et qu’elle n’était pas une mauvaise personne. De toute façon, quand on avait trop bue, on avait un peu de mal à bien réfléchir et mettre en place une stratégie pour cacher quelque chose, car on avait plus de mal à mentir et réfléchir. L’alcool pouvait être une redoutable potion de vérité.
Zoe Baker
Zoe Baker

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▌JE SUIS NÉ(E) LE : 01/11/1985
▌ÂGE DU PERSONNAGE : 38
▌AVENTURES VÉCUES : 369
▌ARRIVÉ(E) LE : 02/10/2017
▌CRÉDITS : bazzart.
Ton âge : 26ans.
localisation : Certainement à la pharmacie.
emploi : Propriétaire de la Pharmacie du Mideel.
humeur : amoureuse.

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Profil Académie Waverly
"i'm a shadow, one that no light will shine on. as long as you follow me, you will never see the day." - Ft.John. |TERMINE. EmptyDim 11 Fév 2018 - 22:52
S'amuser? Ce n'est pas spécialement ce qu'elle était venue chercher ici. Son but était simplement d'oublier la misérable petite existence qu'elle menait à Game City. Cette ville était censée lui apporter un havre de paix, un lieu d'asile ou elle pourrait vivre sereinement à l'abri des atteintes de Eveline, de Lucas ou de quoi que ce soit d'autre, mais malheureusement ce ne serait pas le cas. Ses vieux démons n'étaient pas prêt à se taire, et Zoé le savait mieux que quiconque, ils resteraient la, dans un coin de sa tête pour lui pourrir la vie comme ils ont l'habitude de le faire depuis un petit moment. Cette jeune femme, cette battante qui ne cesse pourtant de combattre contre les ténèbres finiraient noyée par ses derniers, mais pas sans emporter cette peste de Eveline avec elle. C'était une promesse qu'elle s'était faîtes personnellement. Partir, en emportant le mal avec elle, vivre enfin la paix intérieure quand son coeur aura cessé de battre et que ses poumons auraient crachés leur dernier souffle de vie. En attendant, elle oubliait, à travers l'alcool, comme ce que la plupart des gens font quand ils sont au bord du gouffre. Pourtant, Zoé, n'était pas à plaindre. Elle avait le droit à une superbe petite maison en ville, dans un quartier plus ou moins calme et réputée, mais aussi un travail sérieux et une officine qui lui appartenait exclusivement. Tout aurait pût lui sourire dans la vie, sans Eveline..«Je ne comptais pas m'attarder ici de toute façon. » Souffla t-elle en commençant à sentir ses paupières s'alourdir au fil de la soirée. il devait être tard, et le bar ne tarderait certainement pas à fermer. Il était temps pour elle de rentrer au bercail et de se reposer histoire d'affronter les journées à venir, mais avant..

Son sourire niais s'effaçait, laissant des traits et un regard plus que sérieux croiser celui de l'homme qui l'avait aidé auparavant. Il lui offrait une petite carte, ou figurait ses coordonnées personnelles, notamment un numéro de téléphone joignable nuit et jour. Elle ne parvenait pas à comprendre la raison qui l'avait poussé à lui offrir une telle chose, sachant qu'il ne la connaissait que d'une soirée, et pire encore, qu'il avait apprit à connaître une femme quasiment ivre qui aurait pût lui causer du tord et faire du grabuge dans son établissement. «Et bien.. je n'en demandais pas tant. Merci. » se contenta t-elle de répondre bêtement en rangeant la carte dans sa veste avant de se lever du comptoir en titubant, laissant un petit "Oula" glisser de ses lèvres. Son attitude ne passa inaperçu auprès du patron du Normandy qui serait presque inquiet de la laisser partir d'ici sans lui avoir offert un premier coup de main,alors, avant qu'elle n'ait le temps de rebrousser chemin et de s'en aller, il l'a rattrapait par les mots, lui proposant de la raccompagner pour ne pas qu'elle tombe sur des malotrus en tout genre qui serait capable de lui faire du mal et puis, vu l'heure tardive qu'il était, cela ne semblait pas raisonnable du tout de laisser une pauvre demoiselle errer seule dans les rues, un verre d'alcool dans le nez.

La brunette resta silencieuse, et accepta d'être raccompagnée ,au moins comme ça, elle était sûre de ne pas se faire embêter. il ne lui restait plus qu'à attendre la fermeture pour ensuite s'en aller avec l'homme, sans spécialement lui adresser un seul mot. L'alcool commençait plus à la fatiguer qu'à la faire délirer, et c'est à peine si elle ne se serait pas endormie sur son siège au moment de la conduite jusqu'à son domicile. D'ailleurs, ce n'était pas dans ses habitudes que de se faire raccompagner par un homme de cette façon, en général, elle évite que quelqu'un connaisse l'endroit ou elle vit, histoire de ne pas avoir de représailles ou autre, sait-on jamais, mais la, malheureusement c'était essentiel pour elle. Les taxis ne circulaient plus et les transports en communs encore moins, John était réellement sa seule issue pour pouvoir rentrer chez elle et ce entière et c'est ce qui arriva avec plus ou moins de succès. Elle pût rentrer, après plusieurs heures d'attente et un court trajet. Bien sûr, elle l'avait remercié pour son acte de bienveillance, le laissant retourner à sa petite vie tranquille pendant qu'elle, irait directement s'affaler sur son lit, sans prendre le temps de retirer sa veste et même ses chaussures. La fatigue était bien trop présente pour qu'elle ait l'envie de se débarrasser, seule morphée comptait à cette heure ci.

FIN.
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