Une journée sans embrouille ... C'est une chose qui ne peut exister dans la vie mouvementée de la journaliste. S'il venait par malheur avoir un scandale en ville inutile de chercher d'ou cela pouvait venir, elle sera plus ou moins impliquée. Pourtant, la journée semblait bien commencée, tout était parfait jusqu'au moment ou elle mit ses pieds hors de chez elle, et que la journaliste posa son regard sur le journal qui était posé sur le capot de sa voiture. Il était vrai que récemment elle avait démolie une ou deux réputations et mit en lumière la corruption dans certains quartiers. Sentant le coup fourré en approche, elle prit les devant en envoyant un petit message à une des rares personnes sur qui elle pouvait compter, Yuuri la considérer comme son modèle, et pour ce genre de chose, il valait mieux régler cela en famille. Elle prit rapidement son téléphone et tapota rapidement un message de détresse, dans le style " SOS Yuuri en détresse. (个_个)" Et après quelques secondes " (⋋▂⋌) " . Bien qu'elle tenta de joindre cette personne, dans la pièce, on ne pouvait entendre que des noms d'oiseaux échappés de la demoiselle pour exprimer sa frustration. À ce stade-là, il valait mieux se faire oublier et rapidement.
N'ayant aucune réponse, elle prit ses affaires pour se rendre furtivement à son travail afin de récupérer quelques affaires puis elle se dirigea toujours avec son air agréable aux éditions MacGregor. Si son amie ne se trouvait pas là-bas elle devrait aller embêter les forces de l'ordre quitte à utiliser un peu de ses relations pour éteindre le début d'incendie. Elle mit à peine une dizaine de minutes pour se rendre sur les lieux, elle n'affectionnait pas tant ses lieux qui respiraient l'ennui le plus total, au moins ses détracteurs ne viendraient pas la chercher dans ses lieux. Franchissant la porte menant au hall d'entrée, Yuuri commença à désespérer en posant son regard sur la réceptionniste, elle leva les yeux vers le plafond avant de se diriger vers la réception elle avait un mauvais pressentiment. La journaliste n'eut pas le temps de dire un mot que la réceptionniste disparut dans le bureau qui se trouva à l'arrière, cependant, c'était mal connaître la demoiselle qui était bien décidée à obtenir ce qu'elle voulait et tant pis si elle devait se passer des bonnes manières. En effet, la demoiselle trouva assez amusant d'appuyer sur la sonnette afin d'avertir sa présence qui à se passer les nerfs dessus.
Ce petit jeu pouvait durer un long moment puisque la journaliste était de nature très patiente contrairement à la réceptionniste qui semblait agacé. Elle lui expliqua calmement qu'elle était venue voir la femme du patron, sans rendez-vous, mais elle n'en avait pas réellement besoin, malheureusement la réceptionniste n'était pas de son avis. Le sang de la journaliste commençait à bouillonner, elle lui répliqua avec un grand sourire, " c'est un cas d'extrême urgence et si vous tenez encore à votre poste, je vous conseillerais fortement de me laisser voir la femme du patron, dans le cas contraire, je n'ose imaginer ce qui pouvait arriver à votre poste. " Cela résonnait comme un avertissement venant de Yuuri qui avait plus l'habitude d'exécuter les actes par vengeance au lieu de laisser d'un simple avertissement. L'employé lui indiqua l'endroit elle pourrait retrouver son ami et sans plus attendre, Yuuri se dirigea vers son bureau. La demoiselle entra sans frapper à la porte, c'était une habitude chez elle, puis avec un large sourire elle interrogea son amie tout en examinant son bureau : " Dis Juli, on ne t'a jamais appris à répondre aux messages ? " Puis après avoir fait les cent pas dans la pièce elle ajouta " Tu penses pouvoir me rendre, encore, un petit service ? " Yuuri ne se déplaçait pas sans raison valable, cela pouvait inquiétait son amie qui pouvait clairement voir que malgré son attitude rassurante, la demoiselle avait encore fait des bêtises, et pas une petite.
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Pando
Juli Kidman
▌JE SUIS NÉ(E) LE : 24/04/1983 ▌ÂGE DU PERSONNAGE : 40 ▌AVENTURES VÉCUES : 97 ▌ARRIVÉ(E) LE : 25/03/2018 ▌CRÉDITS : ostinwebsite & aeairiel Ton âge : 28 ans emploi : Profiler de la police scientifique de Game City & assistante d'Alexander MacGregor aux éditions MacGregor humeur : Se reconstruit après ses années au service de Mobius
La demoiselle garda son large sourire sous l'accueil glacial de son amie. En effet, cette dernière ne semblait pas étonnée du comportement désinvolte et capricieux de la journaliste. Il est vrai qu'habituellement Yuuri savait soigner ses entrées, mais les circonstances l'avaient un peu pris de court, sans doute à cause d'une réceptionniste qui était de mauvaise foi, et que la coopération aurait eut un effet bénéfique sur la créativité de la demoiselle. Pourtant, dans le bureau, la demoiselle écoutait le sermon de son amie sans broncher avant de rétorquer avec sa mine joyeuse : " Les bonnes manières sont absentes, mais j'ai de bon réflexe donc ça compense. Et puis de toi à moi, on s'est très bien que je n'aime pas frapper aux portes et quant à la réceptionniste, c'est juste un dommage collatérale rien de plus, il ne faut pas dramatiser. Actuellement, c'est ton humeur massacrante qui risque de m'étouffer. " Elle marqua une légère pause et avec un air dubitatif elle interrogea son amie avec un petit sourire " Rassure moi, tout va bien ? Et j'espère que je te dérange."
Bien qu'elle était connue pour être une personne toxique et malveillante, Yuuri se pré-occupait beaucoup de l'état santé et morale de ses proches, s'ils avaient un problème elle fera tout ce qu'elle pourrait pour les rassure, sans attendre une quelconque compensation en retour. Son visage resta figeait jusqu'à ce que Juli lui montre son portable déchargé ainsi qu'une explication qui rassura la journaliste qui pouvait toujours attendre une réponse de sa part. Elle observa l'assistante tout en lui répondant : " Ah ! C'est pour ça que je n'avais pas de réponse ! Tout s'explique." La demoiselle savait de quoi elle parlait, tomber en panne de batterie était la pire chose qui pouvait lui arriver, c'est pour cela qu'elle avait plusieurs batteries que ce soit dans son bureau, dans son sac, et même dans certaines pièces de sa maison. Yuuri travaillait dans un endroit ou elle devait toujours être joignable, un peu comme son amie et ce genre d'appareil est sans doute le plus utile. Le téléphone n'était en rien un accessoire de mode, mais un outil de travail à ne pas négliger. Une fois ce mystère éclaircit, la demoiselle n'allait pas tarder à annoncer la raison de soudaine apparition.
En effet, si la demoiselle était pressée de voir son amie, c'était pour une toute autre raison. Son visage se crispa légèrement lorsqu'elle entendit Juli s'exclamer sur la raison de sa venue, bien que dans un premier temps elle lui répondit avec un léger sourire, elle finit par avouer la raison pour laquelle elle se trouvait là : "Minute papillon, tu vas t'asseoir et m'écouter. Personne n'a piqué mon scoop, dans le cas contraire, cette personne serait déjà enterré six pieds sous terre. Mais ..." Lorsque Yuuri commença à faire les cent pas dans le bureau, ce n'était pas un très bon signe. En effet, elle cherchait les mots pour ne pas heurter son amie qui semblait déjà très occupée, même si ce n'était pas très important, elle devait trouver la mise en forme pour expliquer son souci à son amie :" Okay, je crache ma pilule. Peux-tu utiliser tes relations dans la police pour faire sauter ma dernière contravention s'il te plait ! C'est très important, surtout que l'officier en question m'a mis cette contredanse, car sois disant, je n'étais pas en règle. Alors que tu me connais." Elle prit place sur le siège à côté d'elle avant de sortir la mine de cocker battu : " Et aussi pour le fait que j'enquêtais sur un trafic de corruption qui était lié à son collègue. Mais si tu ne veux pas tant pis, je ne t'en voudrai pas, j'égrainerai un peu plus la réputation de la police dans mon prochain article et puis voilà. " Parfois, Yuuri n'agissait pas forcement très bien, mais c'était une façon pour elle d'exprimer son mécontentement.
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▌JE SUIS NÉ(E) LE : 24/04/1983 ▌ÂGE DU PERSONNAGE : 40 ▌AVENTURES VÉCUES : 97 ▌ARRIVÉ(E) LE : 25/03/2018 ▌CRÉDITS : ostinwebsite & aeairiel Ton âge : 28 ans emploi : Profiler de la police scientifique de Game City & assistante d'Alexander MacGregor aux éditions MacGregor humeur : Se reconstruit après ses années au service de Mobius
La demoiselle continua son monologue sans faire réellement attention à son amie. Minimiser les faits était sa spécialité quand elle ne voulait pas entendre un long sermon qui lui donnerait la migraine, et qui pourrait sans doute faire ressortir son côté colérique. Lorsqu'elle écoutait Juli qui exprimait son mécontentement vis-à-vis de son comportement face à sa réceptionniste, la demoiselle garda le silence quelques secondes avant de répondre avec son large sourire : " Elle n'est que traumatisée. Pas la peine d'en faire tout un cinéma. " Elle leva rapidement les yeux vers le plafond afin d'exprimer son ennui face aux formalités, elle était habituée à cela à chaque fois qu'elle demandait de l'aide à Juli, bien sûr l'échange aller dans les deux sens, si son amie n'avait rien à gagner dans sa petite affaire elle ne serait pas venue. Pourtant, c'est toujours avec ce large sourire qu'elle continua sa confession : " Je ne serais pas venue si mon affaire ne profiterait pas à ta carrière."
Bien que son inquiétude s'estompa rapidement puisqu'elle avait réussi à voir son amie qui ne semblait, en retour, pas vraiment ravie de ses méthodes. Yuuri haussa les épaules, car selon elle, la demoiselle ne changerait pas ses manières un temps soit peu conformiste. Peut-être que son franc parlé allait lui apporter un nouveau lot d'ennui, mais ça, c'était la routine pour la journaliste. Après avoir lâché la raison de sa venue sans détour, elle s'attendait à recevoir un énième sermon venant de Juli qui la mettrait sûrement en garde, mais ce fut tout le contraire. Yuuri ne mit pas longtemps à répondre aux interrogations de l'assistante avec un large sourire : " Tu es flic ET mon amie. . . Moi qui pensais que notre amitié comptait un temps sois peu pour toi. . . Tu pourrais me briser le cœur avec ce genre de propos. Je suis sûre que tu le peux avec un petit fort, tu pourras accomplir de grandes choses..." Puis la demoiselle se mordit la lèvre inférieure à propos de la remarque vis-à-vis de la corruption, et c'est avec son charme naturel que Yuuri laissa échapper un petit : " Oups..." Elle attendit quelques secondes avant de reprendre avec une légère hésitation, sans doute, venait-elle de faire une bourde ... " Euh .. Comment dire ... Tu sais quand je disais que cela pouvait profiter à ta carrière. . . Et bien, c'est vrai, tu sais, tu devrais surveiller certains de tes collègues, l'abus de pouvoir ça vaut quoi un sacré paquet d'argent. " Elle resta évasive sur les détails, sans doute, ferait-elle le lien entre la raison de sa venue, mais aussi le lien avec ce méfait.
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▌JE SUIS NÉ(E) LE : 24/04/1983 ▌ÂGE DU PERSONNAGE : 40 ▌AVENTURES VÉCUES : 97 ▌ARRIVÉ(E) LE : 25/03/2018 ▌CRÉDITS : ostinwebsite & aeairiel Ton âge : 28 ans emploi : Profiler de la police scientifique de Game City & assistante d'Alexander MacGregor aux éditions MacGregor humeur : Se reconstruit après ses années au service de Mobius
La demoiselle prit les mots de son amie avec légèreté. Elle nota cette petite idée dans un coin de sa tête, elle n'aimait pas vraiment la violence, mais l'intimidation ... Cela la connaissait bien. Yuuri avait peut-être un sale caractère, mais elle savait jusqu’où elle pouvait aller, après tout elle ne voulait pas franchir la ligne rouge qu'elle s'était imposée depuis son arrivée en ville. Elle garda son large sourire qui voulait dire tellement de chose bienveillante, mais après les nombreux qui lui venait en tête, la journaliste lui répliqua avec un air un peu plus sérieux : " J'étais à deux doigts de le faire. " Plaisantait-elle ? Difficile à dire.
Son amie semblait perplexe face à la raison de sa venue. Elle savait très bien que la journaliste ne se déplaçait uniquement en cas d'urgence sinon elle préférait envoyer ça par messages ou même par emails. La demoiselle ne s'était pas impliquée directement, mais elle savait pertinemment qu'elle pouvait mettre sa carrière de journaliste en jeux, et même sa réputation qu'elle entrerait avec soins. Lorsqu'elle lui demanda dans quelle affaire louche la demoiselle, s'était fourrée, Yuuri prit place dans un des fauteuil et tout à son aise elle désigna de son index son amie : " Je pourrais te retourner la question. " Elle resta sérieuse, mais lorsque son amie s'agita devant elle, elle ajouta : " Je n'y crois pas, tu n'es pas au courant de ce qui se dit sur la moitié du département de la police ? " Elle leva les yeux en l'air, soupira longuement afin d'écouter les éventuelles accusations de son amie avant de répliquer sur un ton blasé : " Ne t'inquiète pas, j'ai déjà mon lot de problèmes à gérer entre les psychos et tarés. Et elle bien ma façon de garer, c'est juste que les officiers de police ne comprennent pas vraiment le sens des priorités." Elle marqua un temps de pause puis elle reprit la parole : " Et pas qu'un peu, j'ai des yeux partout en ville et certaines personnes m'ont affirmés que des preuves disparaissaient de certains dossiers, on m'a aussi rapporté que certains pots-de-vin étaient distribués dans ton service pour lâcher des noms, et des officiers font des heures supplémentaires et j'en passe. Et tu me connais, j'ai voulu vérifier cela." Elle chercha brièvement en tête la façon de lui expliquer son histoire, car il était difficile de croire la demoiselle connaissant son tempérament, mais Juli savait pertinemment que la demoiselle avait un grand respect pour le maintien de l'ordre, du moment qu'il n'empiétait pas sur son terrain. : " J'ai fait l'excès de me prendre une contravention, l'officier a tenté de me soudoyer afin de faire disparaître cette amende contre le nom de la personne qui m'a refiler un tuyau dans un de mes articles, j'ai gentiment refusé lui rappeler le secret confidentiel et il m'a mis une amende à trois chiffres et j'ai eu le droit à une perquisition dans mes bureaux sans motif valable. Je sais qu'on a bousculé un peu le protocole en dénonçant cela, mais il n'y a rien qui bouge. Si les faits sont prouvés, ton département et ses employés, toi y compris, auraient de très gros problèmes si les personnes impliquées ne sont pas dénoncées. Donc tu vois où je veux en venir quand je parle de ta carrière. "
Elle reprit ses aises dans le canapé tout en écoutant le calme dans la pièce. Suite à la déclaration de son amie, la demoiselle la regarda et avec son éloquence naturelle elle lui avoua : " Je sais très bien où tu veux en venir. Je sais que tu bluffes, on ne me l'a fait pas Juli, je sais très bien que tu n'as pas "replongé" pour une seule raison. . . . À cause de " ça " la jeune femme lui montra une photo qui se trouvait sur son bureau de son couple, respirant le bonheur. " Et de toi à moi, on sait très bien que les mensonges te rongeront de l'intérieur maintenant, car tu as une conscience qui pense aux conséquences. Contrairement à beaucoup de personnes en ville. " Yuuri connaissait les grandes lignes de son passé, mais elle ne pensait pas que Juli pourrait replonger facilement.
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Juli Kidman
▌JE SUIS NÉ(E) LE : 24/04/1983 ▌ÂGE DU PERSONNAGE : 40 ▌AVENTURES VÉCUES : 97 ▌ARRIVÉ(E) LE : 25/03/2018 ▌CRÉDITS : ostinwebsite & aeairiel Ton âge : 28 ans emploi : Profiler de la police scientifique de Game City & assistante d'Alexander MacGregor aux éditions MacGregor humeur : Se reconstruit après ses années au service de Mobius
Yuuri avait une bonne raison de se déplacer, sinon elle se serait contenté de la harceler au téléphone ou même inonder son adresse mail avec des messages codés comme elle avait l'habitude de faire. Elle n'était pas du genre patiente, c'est d'ailleurs pour cette raison qu'elle n'aurait eu aucun remords a secouer la secrétaire, qui l'irritait au son de sa voix. Elle aime terroriser son monde, c'est dans sa nature, et son amie ne pouvait rien y faire.
Tout en entrant dans le vif du sujet, la demoiselle soupira profondément aux dires de Juli, comment ne pas être sensible aux bruits de couloir, ce genre de chose étaient une de ses raisons de vivre pour la journaliste, ça commence par une rumeur et on sait généralement comment ces dires peuvent être interprété. Elle la regarda stupéfaite avant d'ajouter avec sa joie de vivre naturelle : " Tu as tort les bruits de couloir résonnant comme un chant angélique dans ma tête. C'est un petit agréable qui peut vite te taper sur le système et ..." Yuuri ne termina pas sa phrase préférant incliner sa tête pour le côté et mimer un pendu pour lui montrer la fin de sa phrase. Peu subtile, mais c'était compréhensible. Puis elle écouta son amie lui faire remarquer que sa façon de se garer n'était pas très "citoyenne", elle s'empressa de se trouver des excuses : " Premièrement, pour la double file, c'était compréhensible, je ne faisais qu'entrer et sortir du shop. Deuxièmement, pour le trottoir, c'est normal, j'avais dû mal, tu sais, je n'ai pas le compas dans l'œil pour ce genre de choses. Et troisièmement la double place était pour réserver la place de parking à une amie, tu sais, c'est dur de se trouver une place dans le centre-ville. À ce tarif ce n'est plus du zèle, certains son vraiment chiant, ils devraient prendre des vacances !" Faisant mine de faire la moue, elle afficha rapidement un nouveau sourire, cette fille était une boule de nerf ambulante. Puis suite à la remarque de son amie, elle ajouta " Je me suis bien garé, pas de double file, je n'ai pas pris tout le trottoir, mais je crois que je n'ai pas le droit de me garer là, mais on fera comme si de rien n'était n'est ce pas ? " Pourtant, sa réplique suivante avait éveillé sa curiosité, il était temps qu'elle prenne la journaliste un peu au sérieux. Le demoiselle répliqua aussi tôt et un peu plus sérieusement : " Des témoins, d'accuser, et ceux qui sont censés être aux oubliettes. Parfois, je préférais être sourde que d'entendre ce genre de chose ça fait froid dans le dos." Enquêter était son métier, mais embêter le monde était sa vocation, Yuuri avaient des yeux et des oreilles partout, c'est d'ailleurs de cette manière qu'elle prit connaissance de cette rumeur qui s'avéra ne plus être une rumeur. Elle savait faire affaire, abandonnant sa dignité depuis qu'elle était promue rédactrice en chef, elle savait qu'il fallait faire des sacrifices, mais même si elle semblait être je m'enfoutiste, elle avait encore une conscience et une once d'humanité, ce qui n'était pas donné à tout le monde dans cette ville. Tout en se frottant les temps, elle réflechissa rapidement en ajoutant : " Je suis juste venus te prévenir que dans peu de temps, il va y avoir du grabuge et je ne voudrais pas que tu sois un dommage collatérale." Elle savait parfaitement protéger ses sources, et même tirer des informations à l'être le plus véreux de cette ville. Ce qui l'inquiétait le plus étant le fait que son amie pourrait être impliqué. Bien qu'elle avait pris soin de nettoyer son passage, elle ne pouvait pas s'empêcher d'être inquiète. Écoutant avec le sourire ce que Juli lui disait aux sujets de ses sources elle lui répliqua simplement : " Soit je leur promets un long moment de douleur intense, ou soit ils sont plus dérangés que moi et vide leur sac avec une bonne bouteille d'alcool." Elle ne payait pas de sa personne, la plupart du temps, ses sources avaient la langue bien pendue et ils feraient n'importe quoi pour avoir un temps soit peu d'attention.
Bien que Juli tenta de lui jouer la comédie, ceci ne pouvait pas marcher avec Yuuri. Lui faisant remarqué son pitoyable numéro. Elle était clean, elle n'avait pas changé ... Comparé à Yuuri qui ne faisait que porter un masque en permanence et elle ne s'autorisait à le retirer seulement lorsqu'elle se retrouvait seule, dans un endroit habité par le silence. Suite à sa remarque, elle haussa les épaules pour affirmer : " Impossible. Tu ne gâcherais pas ton bonheur pour une affaire de fraude. " Sans doute, était-elle envieuse de sa situation, elle avait réussi à trouver quelqu'un qui l'attendait chez elle quand elle rentrait du travail, une personne sur qui compter en cas de traca. C'est une complicité qui va au délà de la confiance, elle acquiesça simplement : " Je sais." Elle prit une cigarette du paquet qui se trouver sur le bureau de son amie et s'empressa de l'allumer, elle lui répliqua d'un air nostalgique : " Tu sais, parfois, je t'envie, tu es heureuse, lorsque tu rentres le soir il y a quelqu'un qui t'attends, cette personne fait tout pour te protéger. . . Qu'est ce ça fait de se sentir aimé ? " Drôle de question pour la demoiselle qui accepta le verre de whisky. Elle en avait visiblement besoin. Après avoir bu une gorgée, elle répondit ironiquement à Juli vis-à-vis du compliment sur son mari : " Si un jour, on m'avait dit que j'en arriverais là. . . " Elle afficha un large sourire tout en sirotant son verre.
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Chris Redfield
▌JE SUIS NÉ(E) LE : 12/03/1974 ▌ÂGE DU PERSONNAGE : 50 ▌AVENTURES VÉCUES : 502 ▌ARRIVÉ(E) LE : 02/02/2018 ▌CRÉDITS : Tumblr - Google - praimfaya - Bazzart - Psychadelya - Schizophrenic Ton âge : 26 ans
Dim 28 Juin 2020 - 16:20
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