{Libre} Respire

Chris ne travailler pas aujourd’hui , ni en tuent ni avec les animaux, jour de repos quoi. Sauf que si il reste chez lui il devient vite fou et persuader de revenir dans son monde. Il a donc décidé de sortir de chez lui . Ce fut un assez mauvaise idée, et la raison est simple … Y A PLEIN DE FEMME AU CHEVEUX LONG ET NOIR… ou brun , en tout cas au cheveux foncé… et de personne plus grand que lui aussi mais moins quand même et quelque gros.

C’est une peu rationnée pour certaine personne, ce qui peux se comprendre , mais quand on vient de son monde a lui c’est parfaitement compréhensible. Six serait du même avis que lui, quoi qu’elle a pas mal évoluer et en plus elle avait des dons que lui n’avait pas alors forcément ca a aider à s’en sortir. Mais lui a du faire avec les moyens du bord.

Le voilà donc assit sur un banc à fermer les yeux et écouter la musique de son portable, capuche sur la tête gros sweat bleu sur lui , les jambes croiser pour ne pas toucher le sol .Il essaya de rester le plus calme possible et d’évité de tuer quelqu’un ou de maltraité une femme , c’était vraiment mal vue dans ce nouveau monde, quoi qu’il avait tellement peur d’elle qui partirais en courant … c’était quelque chose de difficile a contrôle quand sur le visage des jeune femme qu’on ne connait pas on voit apparaitre celui de la « dame » … mais la musique aide beaucoup Chris la dessus .

De service le midi mais pas le soir, attendant impatiemment la relève, elle finit relativement tôt la journée. Un morceau de pain emballé par poches, elle s'éloigne du restaurant, soulagée de quitter l'endroit. Comme toujours. Cette tension est encore présente au creux de son estomac mais elle a appris à la contrôler partiellement mais sortir d'entre quatre murs lui donnera sans cesse ce sentiment de liberté. C'est plus facile de trouver un échappatoire quand on est pas limité par une pièce et qu'on peut facilement esquiver les gens. Six préfère largement l'extérieur, le soleil et toutes les couleurs qu'on voit, comme la verdure.

Elle ne rentre pas tout de suite, elle brise un morceau de pain qu'elle mange pendant qu'elle marche. Elle esquive les passants au maximum, trop pour que ça paraisse naturel. Un réflexe même si elle s'est habituée un peu plus aux autres. Son regard ne quitte pas ceux dont le physique lui rappelle de mauvais souvenirs avant qu'elle les ai largement dépassé, s'accrochant à son morceau de pain. Elle se stoppe uniquement parce qu'elle voit un jeune homme sur un banc dans un sweat bleu et ça a presque quelque chose de familier.

Presque recroquevillé dessus, il à l'air de vouloir complètement s'isoler du monde. Six se rapproche pour venir s'asseoir en face, par terre, et voir ce visage caché par la capuche mais même comme ça... Elle jette des coups d'oeil à droite et gauche puis revient sur lui. Elle étire lentement son bras et touche sa jambe du bout du doigt. Elle a vu le fil des écouteurs, elle ne cherche pas à lui parler directement et elle ne souhaite pas le sortir brusquement de sa bulle. Est-ce qu'elle s'est arrêtée parce qu'il lui rappelle un souvenir ?

Chris essaye temps bien que mal les exercices de respiration qu’on lui avait souvent conseiller pour éviter les crise de panique mais ça n’était pas aussi simple quand on le dit que quand on le fait. La musique par contre marcher plutôt bien pour l’isoler de ce qu’il a peur , car si il se laisse avoir il pourrait faire des horreurs , ou pire se retrouver dans ces prisons pour fou , il a failli y aller une fois quand on lui a dit qu’il n’était pas mentalement stable.

D’ailleurs alors qu’il était un peu calmer il sentit quelque chose toucher son genoux par reflexe il a passé sa main dessus , mais ça n’était pas un bestioles qu’il a chopé mais une main. Le réveille fut alors rapide et efficace , Chris ouvrit les yeux en grand lâchent la main avant de faire un bon en arrière sur le dossier du banc en étant en parfait équilibre pour regarder qui était devant lui .

Le faite de sentir un main et surtout de la toucher lui avait fait un flash du concierge cette homme aux bras immense qui avait essayer de le bouffer dans la prison. C’était un horreur un vrai cauchemar parmi tellement d’autre. Mais en vrai c’était une femme d’à peu près son âge …. Qui lui disait quelque chose … il avait le sentiment de la connaitre et une horrible sensation de morsure un niveau du cou. Chris retira alors les couleur en fixent la jeune femme restent quand même cacher dans sa capuche comme si c’était la meilleurs sécurité, en plein jour un lampe c’est pas super utile.

Qui es-tu …. ?

Parfois les cauchemars laissent des marques aussi profondes que des cicatrices surtout quand le monde d'où l'on vient en est rempli à chaque recoin. En plein jour, ils s'estompent plus aisément que la nuit et chacun a ses méthodes pour se défendre de ses peurs mais Six peut quasiment parier que l'attitude du jeune homme est trop protectrice pour être naturelle. Il n'a pas l'air de profiter de l'endroit ou de vouloir s'enquérir de ce qui se passe autour donc elle essaie de se montrer discrète en l'abordant avec douceur. Elle n'aimerait pas qu'on vienne la bousculer alors... Elle attend patiemment qu'il réagisse mais elle ne s'attend pas à ce qu'il attrape sa main et sorte de sa bulle avec une telle frayeur si bien qu'il la fait sursauter et qu'elle récupère sa main en la plaquant contre elle, les yeux grands ouverts, elle aussi. Debout, elle aurait sans doute fait un pas en arrière de surprise et mis une distance de sécurité entre eux mais à part un mouvement de recul, elle se tient encore les fesses au sol à fixer le banc et son occupant. Elle se détend bien plus vite que lui et en guise de réaction, elle se contente de faire un geste de la main lui signifiant qu'elle ne lui veut aucun mal.

Six penche la tête sur le côté pour l'observer mais il est toujours enfoncé sous sa capuche. Elle a toujours l'étrange sensation qu'il ne lui est pas entièrement étranger sans pourtant qu'elle puisse le voir clairement. Il reste partiellement une ombre. C'est une première étape de franchie quand il retire enfin les écouteurs de ses oreilles pour lui demander qui elle est. La question peut-être bien vague quand on y pense mais elle répond "Je m'appelle S... Sasha et toi ?". Réponse qui ne veut finalement pas dire grand chose. Elle est Six mais cette appelation ressemble vraiment à un numéro qu'on peut avoir dans une prison quand une identité est devenue secondaire. Nouvel endroit, nouveau prénom. Elle a toujours son morceau de pain dans une de ses mains, elle s'en rend compte soudainement et plonge l'autre main de sa poche. Elle sort le paquet emballé et le pose sur le banc. Elle trouvera autre chose à se mettre sous la dent quand son ventre le lui signalera et puis en attendant, il lui en reste un peu moins d'un. " C'est du pain ! Tu peux le prendre, il est frais." Elle précise, au cas où, ça aussi, ça lui ferait peur. Elle attend qu'il le prenne et elle fixe alternativement le gars puis le pain. C'est comme une offrande, un moyen d'entamer une conversation. Les conversations normales ne sont pas forcément le fort de Six parce qu'elle n'avait pas l'occasion de parler fréquemment avant. Ici, c'est différent mais elle veut patienter un peu avant de lui poser une question sauf que celle-ci s'échappe d'entre ses lèvres "Pourquoi tu as eu si peur ?"

Chris avait pris peur assez facilement il faut bien l’avouer mais sentir une main sur vous quand on a connu un consigne cannibale qui a les bras long en prime ça rassure pas des masse et forcement il a eu peur et c’est éloigner. Peut-être pas de la meilleur des façon d’ailleurs car il est en équilibre sur le dossier du banc à fixer la jeune femme face à lui …. Sacha….

Christopher…. Mais appelle moi Chris….

Pour le moment il reste à distance car il ne sait rien d’elle mais surtout il voit qu’elle a les cheveux un peu long et noir …. La chose qui ne le rassure pas non plus avec les mains et les personne très en forme , voir trop en forme. La jeune femme posa alors quelque chose sur le banc dans un première temps Chris se recula encore un peu se demandent ce qu’elle vas foutre, avant de voir que c’est du pain… ça lui rappelle étrangement quelque chose . Le pain était dure à trouver dans leurs monde et donner en très petit quantité alors c’était précieux. Il finit quand même par redescendre d’un étage pour tendre la main vers le pain avant de se stopper net a sa question. Le visage toujours cachet dans la capuche il se mit à réfléchir quelque seconde a la question avant de redresser un peu la tête pour la fixer.

parce que je m’attendais pas à avoir un main sur moi ….

Il finit quand même par prendre le pain pour en prendre un bout mettent le reste a la même place comme pour partager avec la jeune femme , il fit juste un signe de la tête pour la remercier se reculent a nouveau car il sentait quelque chose de bizarre.

Pourquoi tu m’as approcher ? et toucher… ?

Ça arrive assez rarement il fait l’avouer sauf peut-être dans son boulot ou bien avec les animaux, mais c’est pas la même façon de faire , ils sont diffèrent des humaines et il font beaucoup moins peur aussi .

Son geste n'a rien de brusque, pourtant la réaction paraît disproportionné pour quiconque n'a jamais eu besoin d'être constamment sur le qui-vive. Sasha n'a aucune intention de lui faire peur mais elle ne se formalise pas sur son comportement méfiant mais il faut bien avouer que fermer les yeux, ça ne peut que amener à être surpris par tout ce qu'on ne voit pas venir. Tant qu'il ne tombe pas, ce dénommé Christopher.  Elle acquiesce tout doucement : va pour Chris alors ! Elle ne peut s'empêcher de le fixer avec une curiosité peut être malpolie, de chercher à mieux l'observer. Elle ne peut pas prétendre être la plus douée socialement dans les parages, avec son vécu, ça aurait été étonnant. Une adulte normale ne se serait sans doute pas assise sur le sol avec un morceau de pain entre les doigts déjà. Ah la nourriture, ça c'est un moyen de communication qui lui parle un peu plus. C'est dangereux un estomac vide alors elle pose l'autre morceau sur le banc. Toujours pas de geste brusque mais elle a l'impression d'avoir déposé quelque chose qui peut exploser vu qu'il se recule à nouveau. Elle se doutait un peu d'une réaction aussi méfiante, c'est pour cela qu'elle s'est sentie obligée d'expliquer ce que c'est. En attendant, elle continue de manger le sien après avoir laisser échapper sa question, comme pour éviter d'en poser d'autres et lui laisser le temps de répondre et de prendre le pain.   Sa réponse est logique mais elle met un moment avant de la comprendre, parce qu'en fait ce n'est pas ce qu'elle voulait dire. Elle fronce donc les sourcils un moment puis réalise que c'est elle qui s'est mal exprimée. "Oui... désolée alors." Elle le regarde prendre un morceau de pain puis reposer le reste. Elle secoue négativement la tête et lui montre la partie restante de son propre pain. Pas besoin de partager, sinon ça ne ferait pas beaucoup, non ? Enfin pour elle... Elle se demande si elle aurait réagi comme lui en sentant le contact d'une main sur elle. Possible, sous l'effet de la surprise quand il est plus difficile de se contrôler.

Elle ne sait pas précisément pourquoi elle s'est approchée, parce qu'il y a plusieurs réponses à lui donner. Cet air si familier qu'elle lui trouve, qui lui donne la sensation de pourvoir l'aborder sans crainte. La curiosité aussi en le voyant ainsi, si en décalé avec le monde qui l'entoure. Ce qui pourtant l'a sans doute décidé c'est qu'il semblait craindre quelque chose. "... tu n'avais pas l'air bien." Elle se recroqueville souvent comme ça quand la nuit est tombée, qu'elle entend un craquement chez elle. Elle laisse toujours une lumière allumée dans la pièce et le briquet à portée de mains. C'est pour ça qu'elle veut lui demander pourquoi il a si peur. Elle ne parlait pas d'elle mais le quiproquo est parfaitement compréhensible. Elle pointe un doigt vers le fil des écouteurs pendant sur son sweat pour répondre à sa deuxième question avec une grande évidence "Tu ne m'aurais pas entendue !".  Elle aurait pu se retenir d'entrer en contact avec lui pourtant il n'est plus renfermer sur lui-même, au moins s'il a peur de quelque chose, c'est de la présence concrète d'une personne juste en face de lui. L'idée fait sourire la jeune femme soudainement. C'est une amélioration, non ? Quoiqu'elle n'a pas envie qu'il ait continuellement peur d'elle, c'est pas non plus l'effet voulu, songe-t-elle en se rembrunissant. "Moi aussi, j'aime bien les capuches... même si ça ne fait pas fuir les cauchemars, ça me donne l'impression de pouvoir me cacher. ... Tu n'as pas moins peur maintenant, les yeux grands ouverts ?"

Chris continua de manger le pain , prenant l’autre bout dans sa poche au cas où la tête toujours pencher en avant mais regardent toujours la jeune femme devant lui . il était toujours en constante alerte sur tout sauf avec les animaux bien sûr c’était diffèrent.

je suis rarement bien d’après ma psy …. Et ma conseillère d’orientation …

Bien qu’il n’explique pas pourquoi a aucune des deux , même avec le secret médical il ne veut pas avouer son autre monde c’est trop dangereux elle pourrait venir de ce monde et …. Bref il continua de la fixer gêner . Chris regarda les écouteur et elle avait raison pour le coup , il ne voulait rien entendre en même temps mais il ne s’attendait pas à ce que quelqu’un s’approche de lui pour le coup , ça arriver jamais en même temps .

attache toi les cheveux et j’aurais moins peur ….

Chris lui tendit d’ailleurs un élastique pour le coup car le faite qu’elle est les cheveux long et sombre ne le rassure pas du tout . Bon en espèrent qu’elle fasse pas un chignon en prime ca la-il vas reculer encore plus loin d’elle mais au moins il seront attacher, mais elle était trop jeune pour elle la « dame » du moins il l’espère. Chris prit quand même une grand inspiration pour se redresser un peu relèvent aussi la capuche pour laisser la jeune femme voir son visage sans un mot la fixent dans les yeux intensément comme pour essayer de chercher quelque chose en elle.